Rude Boy Train

2013 : Les indispensables de la rédac’

rude boy train3Alors les lecteurs, l’année 2013 est à peine terminé et on se rend compte qu’on a été dissipé et qu’on a raté les meilleures chroniques de Rude Boy Train ? Pas de problème, la rédac vous file son best-of de l’année, comme ça vous saurez comment dépenser les étrennes que vous a données votre mémé ! Vous constaterez qu’il y a quatre doublons (pas comme l’année dernière) donc… Faites chauffer votre carte bleue parbleu !

 

BEST-OF MAXIME :

Parce qu’il a repris le thème de « Mission Impossible » avec brio, alors que c’était casse-gueule.

 

 

 

 

 

 

Parce que ça fait longtemps qu’on n’avait pas vu un groupe australien en aussi grande forme.

 

 

 

 

 

 

Parce que vingt années de talent, au Japon ou ailleurs, ça se fête !

 

 

 

 

 

 

Parce que même lorsqu’il s’échappe du Tokyo Ska Paradise Orchestra pour la jouer rocksteady avec ses Moodmakers, il est au-dessus du panier.

 

 

 

 

 

 

Parce que dès que les patrons japonais sortent un album, ils atterrissent dans le top 5 !            

 

 

 

 

 

 

BEST-OF OLIVIER :

Parce que David Hillyard est l’un des personnages incontournables de la scène ska-reggae mondiale d’aujourd’hui.

 

 

 

 

 

Parce que Janet Kumah pardi !

 

 

 

 

 

 

 

Parce qu’on est content de revoir les indispensables Alex Desert et Deston Berry.

 

 

 

 

 

 

Parce que les Californiens ont eu la bonne idée d’inviter Angelo Moore et Vic Ruggiero en guests de premier choix.

 

 

 

 

 

 

Parce qu’après Hillyard et Ruggiero, Agent Jay, l’autre Slacker, a lui aussi droit à son side-project. Et comme d’hab c’est impeccable !

 

 

 

 

 

BEST-OF VINCE :

Parce que quand les Japonaises se mettent à la jouer revival, ça rappelle la meilleure période des Busters.

 

 

 

 

 

 

Parce qu’avec le son british de 65 Mines Street, les rues d’Audincourt prennent des allures de Camden Town.

 

 

 

 

 

 

Parce que c’est LA découverte américaine de l’année !

 

 

 

 

 

 

 

Parce qu’en reggae en 2014, il n’y a rien au-dessus des Lions.

 

 

 

 

 

 

Parce qu’avec ce deuxième album, le groupe espagnol confirme qu’il est l’un des meilleurs de la scène européenne.

 

 

 

 

 

BEST-OF LIONEL :

Parce qu’en allant voir ailleurs que chez Madness, Lee Thompson revient à ses racines jamaïcaines. Et nous on dit « banco » !

 

 

 

 

 

Parce que si vous écoutez un peu leur son, vous allez tout de suite comprendre pourquoi ce super groupe est présent à deux reprises dans notre classement.

 

 

 

 

 

Parce que le groupe anglais confirme avec ce premier opus tout le bien que l’on pensait de lui.

 

 

 

 

 

 

Parce qu’on ne l’avait pas vu venir avec son merveilleux album.

 

 

 

 

 

 

Parce que quand Hillyard invite ses potes pour nous parler de ses années californiennes, on se croirait au all-star game.