Rude Boy Train

SKAPITAL SOUND – SKAPITAL SOUND – AUTOPROD

UN PEU D’HISTOIRE : Skapital Sound, c’est tout neuf, et c’est l’exemple parfait pour démontrer que le ska a encore de beaux jours devant lui un peu partout dans ce beau monde…

On est donc ici a Monterrey, au Mexique et en creusant un peu parmi les maigres infos disponibles, on est a peine surpris de découvrir derrière ce nom un side-project d’un des membres des incontournables Inspector, soit « Padrino » Arriaga, saxophoniste de son état qui se colle ici aussi au chant sur les titres les plus musclés.

Le groupe né en fin 2014 de la seule ambition de jouer du ska entre amis se retrouve à monter un set à la va-vite pour assurer la première partie des Toasters qui passent dans le coin… Leurs reprises des Wailers, Dragonaires, Prince Buster et autres Skatalites ont tellement de succès qu’ils décident de composer ensemble. Ils sortent donc en téléchargement gratos ce mini-album le mois dernier… (suite…)

Rude Boy Train’s Classics: INTENSIFIED-FACEMAN SOUND (Grover Records-1999)

« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois… 

UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE :  Quand on parle ska et Royaume-Uni, on pense forcément two tone. Cela serait bien vite oublier que dès la fin des années soixante, l’île, avec sa forte colonie Jamaïcaine, devient  un des bastions mondial de cette musique dans sa version traditionnelle. Cet ancrage aura inspiré nombre de vocations dont celle des excellents Intensified, qui depuis bientôt 25 ans distillent leur excellent cocktail de ska, rocksteady et early reggae.

Créé donc en 1990, ce n’est qu’en 91 qu’on trouve les premières traces d’enregistrements officiels du groupe, format cassettes, époque oblige (mais oui la petite boite en plastique avec les deux rouleaux bizarres au milieu !). Le premier 45t ne voit le jour que deux ans plus tard sur le label Swingeasy Records avec « Marguerita » qui reste aujourd’hui un des titres emblématiques de la bande de Folkstone. (suite…)

Rude Boy Train’s Classics – JIM MURPLE MEMORIAL – THE STORY OF JIM MURPLE MEMORIAL (Patate Records-1999)

« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois…

UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE : C’est en 1996 au cœur de Montreuil que débute la belle aventure du Jim Murple Memorial : quelques zicos s’unissent autour de la voix délicieusement vintage de Nanou Benoit avec comme projet ambitieux de mixer, comme à la grande époque des pionniers des studios jamaïcains, les musiques nord-américaines et caribéennes des années 50 et 60.

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THE BLUEBEATERS – EVERYBODY KNOWS – RECORD KICKS

UN PEU D’HISTOIRE : Les Bluebeaters voient le jour officiellement en 1994, sous la forme d’un « One Night Band » pour un concert à Turin entre d’ex-membres de Casino Royale et d’Africa Unite qui reprennent pour l’occasion tout un tas de tubes ska, reggae mais aussi soul ou bien simplement pop à la sauce jamaïcaine.

Mais ce n’est qu’en 1999, à la suite d’une tournée d’une vingtaine de dates, qu’ils se créent un réel public en Italie et que se creuse l’idée d’un album… « The Album » (pas cons les gars), sort donc cette même année sous l’étiquette Kingsize Records et contient aussi bien des classiques de Marley, Alton Ellis ou des Skatalites, comme des hits du chanteur Italien Gino Paoli ou bien des tubes du moment comme le « Wonderful Life » de Black ou même « Believe » de la ressuscitée Cher. La mayonnaise prend fort bien et la voix exceptionnelle de Giuliano Palma est parfaitement servie par des zicos de pointe comme Mr T-Bone qu’on découvre à l’occasion. (suite…)

Rude Boy Train’s Classics – LAUREL AITKEN & COURT JESTER’S CREW – JAMBOREE (Grover Records-2001)

« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois…

UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE: Vous avez peut être déjà entendu parler de Laurel Aitken ? Allez, je chambre, bien sûr, mais Laurel Aitken est bel et bien un des incontournables monuments de la scène ska, de la musique jamaïcaine même, «The Godfather Of Ska » que personne ne peut encore ignorer et qui nous quitta trop tôt en 2005 d’un infarctus. (suite…)

Dance Ska La 2015 – Wepys/Gemma & The Travellers/The Trojans/Mr Freak Ska – Samedi 21 Mars – Rennes(35)

Afficher l'image d'origineC’est avec en tête les excellents souvenirs d’une vingtième édition de toute beauté avec les superbes prestations des Upsttemians, de Soweto mais aussi et surtout de 65 Mines Street qui accompagna magistralement un Roy Ellis en pleine forme que j’ai pris la route le week-end dernier pour la grand messe annuelle du Dance Ska La…

Mais a mon arrivée, la tuile ! The Talks, dont j’attendais la prestation avec une certaine impatience, est resté en rade au beau milieu de la pampa entre Lille et Rennes, la faute à un van pourri qu’on maudira pendant encore quelques temps…

Les Banana gèrent sans sourciller et c’est aux Wepys que l’on demandera de pallier ce forfait en jouant pour une troisième soirée d’affilée ! Les Marseillais assurent le spectacle sans problème, de l’avis des présents, ce qui ne sera pas mon cas malheureusement pour le coup, pour des raisons aussi diverses que variées… (suite…)

ED ROME – SNAPSHOTS: DUB & SUBS – AUTOPROD

Snapshot: Dubs & Subs cover art

UN PEU D’HISTOIRE : Vous vous rappelez surement de Ed Rome, l’ancien chanteur du groupe ska anglais The Big, qui avait pondu l’année passée un excellent «Snapshot» 100% maison où il exerçait à la quasi-totalité des instruments exceptés les cuivres, sur des compos excellentes surfant entre early reggae, ska, rocksteady avec des pointes de soul soit un peu tout ce qu’on aime par ici chez RBT.

On vous avait annoncé il y a quelques semaines un album de versions réinterprétées avec plein de guests tip-top dedans… Et bien voilà la pépite tout juste sortie en ce mois de mars qu’on vous pond une bonne chronique toute chaude sur ce très bon « Snapshot, Dubs & Subs ». (suite…)

Rude Boy Train’s classics – MALARIANS – HOSTAL CARIBE (SKATOWN/PLASTIC DISC/GROVER RECORDS-1998)

!! MALARIANS " Hostal Caribe ".....Discaso de ska de españa.... - El grupo se forma en 1986 en Madrid. Comienzan con el nombre de Ton Ton Macoute, cambiando más tarde a Guaqui Taneke, con el que empiezan a ser conocidos en los circuitos de ska y reggae. Con este nombre graban sus primeras referencias: dos temas para los recopilatorios Rock’n'Moncloa (1989) y Latin Ska Fiesta (1990). En 1990 cambian su nombre a Malarians, inspirado en un médico jamaicano conocido como Dr. Malaria. Su primer álbum, Guaqui Taneke, se graba en febrero de 1991 en los Q Studios en Leicester (Inglaterra), bajo las órdenes de Rob Nugent como técnico y Laurel Aitken como productor. Este último participa a la voz en los temas «Nobody talks to you» y «Black pussy ska». El disco se presenta en una gira por España y Portugal acompañados por Laurel Aitken. Debido a numerosos problemas y tensiones entre los miembros, la banda se disuelve. 1993 es un año clave. Jaime Girgado y Gabi Peris (como miembros fundadores) junto a Julio Sánchez y Carlos Blázquez (que habían tocado en Guaqui Taneke), deciden refundar la banda. El grupo se recompone entrando como vocalistas Rubén López (cantante y guitarrista de Manifiesto es Dios) y Begoña Bang Matu (ex cantante de un grupo de rhythm’n'blues llamado La Noche de la Iguana), así como Antonio J. Iglesias a la batería y una nueva sección de vientos. Se produce un giro en el sonido hacia ritmos latinos y soul, sin olvidar en ningún momento el ska como base. La banda comienza a girar de nuevo, y durante este año y 1994 dieron muchos conciertos por España y Europa, paticipando además en numerosos festivales de música jamaiquina. Estos años comparten escenarios con grupos como The Skatalites o Radio Bemba Sound System. En 1996 entran a grabar su segundo álbum, Mind the Step!, el primero con la nueva formación. Repiten estudios y técnico, pero esta vez son ellos mismos los que toman las riendas de la producción. Laurel Aitken vuelve a colaborar en los temas «Ben Gunn» (voz), «Perdes el tren» (voz) y «Don’t leave la Habana» (maracas). Hostal Caribe, su tercer disco, llega en 1998. Es su disco más aclamado por la crítica y el favorito de varios de sus miembros. Buscando un sonido más profesional dejan Inglaterra y graban en los estudios N.C. de Boadilla del Monte (Madrid), bajo la mirada de Chema de la Cierva como técnico y Kevin Delahaye como productor. Lo editan en su popio sello, Skatown Records, en colaboración con el sello catalán Plastic Disc. El buen sonido del disco anima a sus miembros a embarcarse en giras por Italia, Francia, Alemania, Suiza o Finlandia, tocando con grupos como Toots and the Maytals, Laurel Aitken, Dr. Ring-Ding o The Selecter. En 2000 - Fotolog

« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois…

UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE: Les Malarians, c’est un des piliers de l’histoire du ska hispanique. Fondé à Madrid en 1986 sous le nom de Ton Ton Macoute autour du guitariste Jaime Girgado et du bassiste Gabi Peris, c’est en tant que Guaqui Taneke qu’ils commencent à se faire remarquer sur la scène ska et reggae espagnole et sortent deux titres sur les compil’ Rock’Ne Moncloa en 89 et Latin Ska Festival en 90. (suite…)

The Nice Guys-Rude On Friday-Majestic Records

UN PEU D’HISTOIRE: L’histoire des gars de St Amandsberg, quartier de la ville de Gent, commence en 2001 lorsque trois membres du groupe punk The Accused cèdent à l’envie irrépressible de se mettre au ska. Rejoins par un quatrième larron, ils jouent un two tone de base et enregistrent une première démo deux titres.

Depuis ce jours, The Nice Guys ne cessent d’évoluer vers un son de plus en plus roots avec l’arrivée de cuivres et d’un contrebassiste et jouent avec un line-up constant depuis 2010. Ils sortent leur premier opus, « Sweet And Dirty » en août 2013 en le présentant au public lors d’une première partie des Skatalites…Ils ré-entrent en studio dès juin 2014 pour enregistrer les 14 nouveaux titres qui composent ce « Rude On Friday » sorti depuis déjà novembre

LE DISQUE: : C’est une sacrée belle surprise qui nous arrive des Flandres avec ce « Rude On Friday ». Surprise car il faut bien avouer que je n’avais jamais entendu parler du groupe avant l’annonce de la sortie de ce deuxième skeud en a peine deux ans. Ce qui marque dès la première écoute des Nice Guys, c’est le coté « couillu » de leur musique… De l’usage de la contrebasse en passant par le coté resté très punk du chant, ajouté à une grosse section de trois sax omniprésente en plus d’une trompette et d’un trombonne, tout est fait pour nous offrir un son « so rude ». (suite…)

Train’s Tone – Blow A Fuse – Autoprod

Blow a fuseUN PEU D’HISTOIRE: Initié sous le nom de Tsunami’s Band, l’aventure des Girondins commence il y a maintenant plus de 14 ans. Après avoir assisté à un concert des Skatalites mémorable, 8 musiciens décident de se réunir avec l’ambition de défendre cette musique jamaïcaine qui les avait conquis ce soir la.

En 2005, après avoir enchaîné les premières parties prestigieuses et changé de nom suite à la catastrophe bien connue, les désormais Train’s Tone sortent leur premier skeud nommé « Hot Twelve » qui dessine le profil de leur musique, proche d’un Jim Murple Memorial ou d’un Western Special, un ska-jazz roots, profondément marqué du swing des années 40-50… S’en suivirent «Birth Of Hope » et « Back On The Rails”, tous deux sortis sous la bannière de l’excellent label Patate Records… (suite…)

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