Rude Boy Train

Two Tone Club sur la route

L’image contient peut-être : texteHey messieurs dames, y a le TWO TONE CLUB qui repart en concert. Et pour les avoir vus cet été, je peux vous dire que ça tient toujours bien la route.

Le combo de Montbé défendra donc son dernier album à Mulhouse le 22 septembre au Cité Ska Festival avec les Allemands de Leuchtstoffmöhre (deux groupes ça fait vraiment un festival ?), à Nancy le 5 octobre au Hublot avec les locaux de la Casa Bancale, le 6 à Rennes au Jardin Moderne pour la Fiesta la Mass (avec notamment The Filaments et The Mercenaries), le 10 aux Tanneries à Dijon, le 31 à Alost pour nos amis Belges, et le 15 novembre au Gibus à Paris avec The Slackers pour ce qui s’annonce comme une magnifique soirée.

Allez-y ça va être cool.

Rude Boy System, le retour

L’image contient peut-être : 1 personne, texteRUDE BOY SYSTEM, c’est l’un des groupes historiques du ska en France. Les vieux comme moi se souviennent de « Saint Louis Ska » sur la compilation « Ni Jah Ni Maître » d’On A Faim en 1994, quand d’autres avaient kiffé « My Friend » en 2008.

Le groupe avait ensuite splitté, mais pas tout à fait puisqu’en 2013 il avait donné quelques concerts pour fêter ses 20 piges.

Et si ça faisait 20 piges en 2013, ben ça en fait 25 en 2018.

Les revoilà donc qui remontent sur scène pour pour fêter dignement ça au Mans le 6 octobre au Barouf.

Et comme ils sont lancés, ils en profitent pour jouer aussi à Andard (49) le 13 octobre au festival du Rock et des Vaches.

Oh les gars, vous voulez pas venir jouer dans l’Est tant qu’on y est ?

RUDE BOY TRAIN’S CLASSICS – THE SLACKERS – Redlight (Hellcat Records/1997)

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« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois… 

UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE : Depuis plus de vingt ans, THE SLACKERS, à force d’albums impeccables et de tournées incessantes à travers le monde est devenu une référence de la scène ska mondiale…

Le groupe naît à New York en 1991 autour du talentueux clavier et chanteur Vic Ruggiero… Ils jouent à l’époque un two-tone mêlé de garage rock et de quelques touches de rocksteady. C’est rugueux, dynamique, mais loin des merveilles dont le groupe va se révéler capable. En 1996 alors que Dave Hillyard vient de quitter sa Californie natale et le groupe Hepcat pour les rejoindre, ils enregistrent, « Better Late Than Never », produit par Victor Rice, qui définit les premiers contours de ce que sera le son des Slackers, proche des racines jamaïcaine, mais sous forte influence soul et blues. D’emblée le groupe en impose avec des titres comme « Sooner or Later », entraînant, « You Don’t Know I », ou « Sarah » encore souvent repris en live aujourd’hui. Ils signent alors chez Hellcat Records en plein boum punk et ska outre Atlantique. (suite…)

On part à la plage

Résultat de recherche d'images pour "plage palmiers"C’est les vacances bien méritées de Rude Boy Train.

Votre webzine préféré prend un peu de congés et revient le 4 septembre prochain pour vous parler de l’actu du ska, du rocksteady, du reggae et de la soul.

Reposez-vous bien, faites la teuf, passez de bonnes vacances !

Stay Rude !

RUDE BOY TRAIN’S CLASSICS – THE KINGPINS – PLAN OF ACTION (Stomp Records/2000)

« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois…

UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE : THE KINGPINS est,  avec The Planet Smashers, un des groupes essentiels de la scene ska québecquoise. Fondés en 1994 autour de Lorraine Muller au sax, l’incontestable leader de la troupe, ils remportent dès leur première sortie « On The Run », un cd deux titres, le prix du meilleur single du  Montreal Independent Music Industry en  1995. Le premier album « Watch Your Back » » de 1997 restera plutôt confidentiel, même si sur scène, leur succès est grandissant. (suite…)

THE INTERRUPTERS live en studio

2018 semble être l’année de THE INTERRUPTERS : leur dernier album (« Fight The Good Fight« ) est exceptionnel, le groupe était récemment invité dans le late-show de Jimmy Kimmel, et les voilà qui continuent à arpenter les médias américains, cette fois dans les studios de 91X, radio alternative de San Diego assez importante en Californie (elle est aussi à l’initiative du festival Scallywag qui accueille le 20 octobre prochain The  Mighty Mighty Bosstones, Hepcat, Rancid, Less Than Jake et donc The Interrupters – ça fait rêver). (suite…)

Le bel anniversaire de Records Kicks

L’image contient peut-être : 10 personnes, texteRECORD KICKS, le label très soul de Milan (probablement l’un des meilleurs de ces dernières années), qui a sorti notamment les albums de Calibro 35, The Bluebeaters, The Tibbs ou Tanika Charles, en est déjà à sa quinzième année.

Et quinze piges, ça se fête. Ça tombe bien, le label semble avoir un bon feeling avec la France (pas mal de groupes maison viennent jouer chez nous) et c’est au New Morning parisien qu’il a décidé de célébrer son anniversaire.

Le programme est alléchant, avec deux de ses meilleurs groupes, les Anglais d’HANNAH WILLIAMS & THE AFFIRMATIONS, et les Portugais de MARTA REN & THE GROOVELVETS qu’on ne présente plus, avec en plus Nick qui viendra ambiancer tout ça aux platines. (suite…)

THE DEBONAIRES – Listen Forward – Grover Records

UN PEU D’HISTOIRE: En Californie, il y a Hepcat, il y a See Spot, et il y a THE DEBONAIRES, combo né en 1995 du côté de Riverside autour du charismatique chanteur/saxophoniste Kip Wirtzfeld. Le groupe aime les pochettes de disques toutes pourries, et aussi le vieux son jamaïcain à base de ska, de rocksteady, de reggae, et publie son premier album, « Groovin’ After Sundown », en 1998. Le groupe partage l’affiche avec les plus belles pointures du moment, de The Skatalites à Desmond Dekker, de Laurel Aitken à Phyllis Dillon, en passant par Justin Hinds, Rico Rodriguez, The Specials ou les voisins de Hepcat.

En 2001, les Californiens sortent leur deuxième album, éponyme, sur Rivercidal Records, puis « Longshout » en 2005. Ensuite, le combo sera plus au moins actif, plutôt moins que plus d’ailleurs, jusqu’en 2011 où il parle de retourner en studio, soit disant pour enregistrer un album devant sortir à l’automne.  Mon oeil. En 2011, rien. En 2012, rien non plus… Jusqu’en novembre où le groupe se décide à sortir non pas un album, mais un 45 tours avec Angelo « Fishbone » Moore en featuring, sur Steady Beat Recordings (et limité à 200 exemplaires). Quant au quatrième opus intitulé « Movin’ », longtemps annoncé, souvent repoussé, il sort enfin à l’été 2013 sur Jump Up Records, suivi de près par une tournée un peu partout dans l’ouest américain. (suite…)

THE INTERRUPTERS chez Jimmy Kimmel

On ne vous présente plus THE INTERUPTERS, génial quatuor californien branché ska et punk-rock, parrainé comme il se doit par le patron des patrons Tim Armstrong.

Le combo a récemment sorti un album de très haute volée, « Fight The Good Fight » chez Hellcat Records, et le voilà maintenant qui se fait inviter à jouer en live dans le late-show de Jimmy Kimmel (celui où il y a Dicky Barrett qui fait l’annonceur), signe que ça commence à bien marcher pour eux aux Etats-Unis. (suite…)

THE INTERRUPTERS – Fight the good fight – Hellcat Records

Résultat de recherche d'images pour "the interrupters fight the good fight"UN PEU D’HISTOIRE: Depuis 2012, THE INTERRUPTERS, combo ska-punk de Los Angeles, est devenu incontournable. Emmené par Aimee Allen et les frères Bivona (guitare, basse, batterie) le quatuor s’est fait rapidement connaître avec sa version de « Treat The Youth Right » de Jimmy Cliff et avec les reprises de Tim Armstrong sous le nom de Tim Timebomb.

Le premier album était sorti en 2014 en version vinyle+CD sur Hellcat Records, suivi moins de deux ans plus tard par « Say It Out Loud », toujours sur le même label. Et avec un producteur nommé Tim Armstrong, comme par hasard…

Depuis, le groupe a pas mal arpenté les routes des USA, et aussi un peu celles d’Europe, et a forcément participé au grand raout de « Back To The Beach » à Huntington Beach en avril dernier, avec Goldfinger, Aggrolites, Mustard Plug, Hepcat, Aquabats et compagnie… (suite…)

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