Rude Boy Train’s Classics – THE BUSTERS – Couch Potatoes – (Weserlabel-1989)
« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois…
BEAUCOUP D’HISTOIRE (rappel): C’est du côté de Wiesloch, dans le land du Bade-Wurtemberg, que THE BUSTERS voit le jour en l’an de grâce 1987. Au départ, The Busters c’est : Thomas Scholz et Klaus Huber au chant, Max Grittner à la basse, Hans-Jorg Fischer et Peter Quintern au sax, Jan-Hinrich Brahms au trombone, Hardy Appich à la trompette, Martin Keller à la guitare, Jesse Gunther aux percus, Markus Schramhauser et Stephan Keller aux claviers, ainsi que Gunther Hecker à la batterie. Douze musiciens donc, dont deux chanteurs, deux saxophonistes, deux claviers et un batteur + un percussionniste ! (suite…)
Rude Boy Train’s Classics – Maroon Town – High And Dry (Staccato Records – 1990)
“Rude Boy Train’s Classics”, c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois.
BEAUCOUP D’HISTOIRE: L’histoire commence donc au milieu des années 80 dans le sud de Londres, à Brixton. Depuis cette période, Maroon Town n’a jamais cessé d’exister, même si leur activité a été un peu en dent de scie. En revanche, le groupe qui tourne aujourd’hui n’a que peu à voir avec le line-up d’origine d’il y a presque trente ans puisque seuls deux membres ont traversé les époques : Rajan Datar et Deuan German. Le nom du groupe s’inspire bien évidemment de la communauté d’anciens esclaves qui ont réussi à se libérer et ont fondé une communauté indépendante au 18ème siècle en Jamaïque. Et ce nom démontre bien l’engagement du combo dans une démarche contestataire.
Rude Boy Train’s Classics – MR. REVIEW – Walkin’ Down Brentford Road (Unicorn/Grover Records-1989)
“Rude Boy Train’s Classics”, c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois.
BEAUCOUP D’HISTOIRE: C’est en 1985, lorsque le mouvement two tone est à l’agonie, que MR REVIEW voit le jour à Amsterdam autour du guitariste Arne Visser et du batteur Roel Ording. Ils font la connaissance de Dr Rude (chant) et abandonnent assez vite leurs plans reggae pour accélérer le tempo et se consacrer au ska. Ils recrutent une fine équipe de musiciens, basse, clavier, deux sax, trompette, donnent des concerts à droite à gauche, et se font repérer par Unicorn Records, LE label british de l’époque. Nous sommes en 1988 et c’est pourtant en autoprod que le groupe publie son premier 45 tours « Ice and Snow/The Feeling’s Allright ». (suite…)
Rude Boy Train’s Classics – THE SPECIAL AKA – In The Studio – (Two Tone Records-1984)
“Rude Boy Train’s Classics”, c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois.
BEAUCOUP D’HISTOIRE : Bon alors on ne va pas vous faire l’affront de vous expliquer qui sont les SPECIALS. Par contre on va juste rappeler aux ignorants que le groupe s’est formé en 1977 sous le nom de The Coventry Automatics (à Coventry donc), puis s’est appelé The Special AKA pour son premier single (le hit « Gangsters » adapté de Prince Buster en face A et The Selecter en face B), avant de tout simplifier pour s’appeler The Specials, tout court. Le groupe est alors composé de Terry Hall et Neville Staple au chant, Roddy Byers et Lynval Golding à la gratte, Jerry Dammers au claviers, Horace Panter à la basse et John Bradbury à la batterie. Leur premier album éponyme (un monument) produit par Elvis Costello et sorti en 1979 sur Two Tone Records, le label du clavier Jerry Dammers. Le second opus, « More Specials », sort l’année suivante. (suite…)
Rude Boy Train’s Classics – The Ska Flames – Ska Fever (Gaz’s Rockin’ Records – 1989)
“Rude Boy Train’s Classics”, c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois. (suite…)
Rude Boy Train’s Classics – Hepcat – Out Of Nowhere (Moon Records/Hellcat Records/1993)
“Rude Boy Train’s Classics”, c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois.
BEAUCOUP D’HISTOIRE: Los Angeles, 1989. Cette belle brochette de jeunes Californiens qui aiment The Specials et Toots and The Maytals que sont Greg Lee (chant), Alex Désert (chant), Deston Berry (claviers, chant), Raul Talavera (sax), David Hillyard (sax), David Fuentes (basse), Dennis Wilson (guitare) et Greg Narvas (batterie) décident de faire du ska, du rocksteady et du reggae, en version plus cool, plus roots que leurs potes de The Toasters, Skeletones et autres Fishbone. (suite…)
Rude Boy Train’s Classics – Mute Beat – Studio Live in Tokyo (Pony Canyon (ポニーキャニオン) – 1987)
“Rude Boy Train’s Classics”, c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois. (suite…)
Rude Boy Train’s Classics – Tim Armstrong – A Poet’s Life – (Hellcat Records/2007)
« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois.
BEAUCOUP D’HISTOIRE: Timothy Lockwood Armstrong, dit TIM ARMSTRONG, est né en 1966 à Berkley, pas très loin de San Francisco. A cinq ans, il rencontre un certain Matt Freeman et en 1985, ils forment Basic Radio, un groupe punk qui enregistrera seulement quelques démos. En 1987, avec Jesse Michaels au chant, Matt Freeman à la basse, et Dave Mello à la batterie, Tim Armstrong (guitare) monte Operation Ivy, l’un des premiers groupes ska-punk de l’histoire. Le groupe se sépare en 1989, mais laisse derrière lui un EP, « Hectic », ainsi qu’un album, « Energy » sortis tous deux sur Lookout ! Records. Des années plus tard, « Energy » devint un album culte cité comme référence par des milliers de punks à travers le monde. (suite…)
Rude Boy Train’s Classics – Court Jester’s Crew – Umbe (We Bite Records/In & Out Records – 1997)
“Rude Boy Train’s Classics”, c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois.
BEAUCOUP D’HISTOIRE : L’aventure commence en 1995 à Tübingen, ville allemande où l’ancien pape Benoit XVI a enseigné à la prestigieuse université Eberhard Karl, lorsque neuf musiciens se réunissent autour d’un projet commun : véhiculer leur passion pour la musique jamaïcaine ! Ce projet se concrétise sous la forme d’un groupe baptisé Court Jester’s Crew, et dans lequel on retrouve les personnes suivantes :
– Johannes Hirt au saxophone ;
– Sensi Simon à la trompette ; (suite…)
RUDE BOY TRAIN’S CLASSICS – THE BUSTERS – RUDER THAN RUDE – (WESERLABEL-1988)
« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois.
BEAUCOUP D’HISTOIRE : C’est du côté de Wiesloch, dans le land du Bade-Wurtemberg, que THE BUSTERS voit le jour en l’an de grâce 1987. Au départ, The Busters c’est : Thomas Scholz et Klaus Huber au chant, Max Grittner à la basse, Hans-Jorg Fischer et Peter Quintern au sax, Jan-Hinrich Brahms au trombone, Hardy Appich à la trompette, Martin Keller à la guitare, Jesse Gunther aux percus, Markus Schramhauser et Stephan Keller aux claviers, ainsi que Gunther Hecker à la batterie. Douze musiciens donc, dont deux chanteurs, deux saxophonistes, deux claviers et un batteur + un percussionniste ! (suite…)