Rude Boy Train

Les belles sapes de Russel

Blue socks. Blue mood. #bensherman #solovair #staprest #levi #levis #levijacket #oxblood #brogue #brogues #brogueshoes #checkshirt #suedehead #mods #madeinengland
On ne parle pas souvent de fringues sur Rudeboytrain, et pourtant on pourrait, tant il est vrai que les skins, mods, suedeheads et autre bootboys n’ont pas l’habitude de s’habiller n’importe comment.

Dans le genre aussi classe que Georges Abitbol, « l’homme le plus classe du monde », on a croisé au détour d’un page Instagram un certain Russel qui aime les mêmes fringues que vous.

Sauf que lui il est Anglais, et qu’il arrive facilement à se procurer le top de l’élégance pour ceux qui aiment se déhancher en écoutant Millie Small ou Lukas Sherfey. (suite…)

The Talks chante pour Fred Perry

On aime THE TALKS à Rude Boy Train, et on se réjouit que le groupe soit en France dans quelques semaines, le 16 juillet à la Péniche Cancale à Dijon, et le 17 à Dieulouard (54, près de Nancy) pour le East Summer Fest (+Mad Professor VS Prince Fatty).

En attendant de skanker comme des oufs, on vous met à disposition des vidéos live en studio enregistrées par le quatuor pour la marque anglaise à la branche de laurier dans les cadre des live sessions Fred Perry Subculture. (suite…)

The Dead 60’s – The Dead 60’s – Deltasonic Records / Epic Records.

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« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois…

UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE: Dans la famille musicale typiquement british les Dead 60’s représentent un espèce de modèle. Anglais jusqu’au bout des guitares le groupe se forme au début des années 2000 s’appelant successivement Pinhole puis Resthome avant de prendre son nom définitif en 2003. Histoire  d’évacuer directement le sujet des influences, oui les Dead 60’s aiment Lee Scratch Perry, les Clash, les Specials et Madness ! La chose a été dite, écrite et redite …. oui mais voilà comparaison n’est pas raison et le quartet n’aura de cesse durant sa courte carrière d’affirmer une vraie identité, une véritable originalité, celle qui fait la richesse du rock anglais. Après un second album « Time to Take Sides » en 2007 sur le label Deltasonic Records le groupe se sépare début 2008 juste parce que « le groupe avait fait son temps » ! Pour la petite histoire, comble de la réussite, le groupe verra même une série de blousons Harrington portant son nom sortir en édition limitée chez Fred Perry. Si c’est pas la classe ! (suite…)

Fred Perry se met aussi à l’heure du Mondial

Après Ben Sherman, FRED PERRY ! Vous connaissez forcément la marque anglaise spécialisée dans les polos très élégants, qui sont au Royaume-Uni ce que Lacoste est à l’Hexagone. Dans les deux cas, c’est un grand joueur de tennis qui a donné son nom à une grande marque, sauf que Fred Perry est beaucoup plus working-class que René Lacoste, et que forcément, quand les mods et les skinheads ont eu à faire leur choix, ça n’a pas fait un pli.

Plus de soixante ans après la création de la marque, Fred Perry ne cesse de s’adapter au marché  et aux tendances, tout en s’efforçant de conserver son image typiquement british que véhiculent aussi bien Paul Weller que Damon Albarn ou Bradley Wiggins.

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