Rude Boy Train

The Lee Thompson Ska Orchestra dans les bacs le 3 juin

Afficher l'image d'origineLEE THOMPSON, c’est l’incontournable, l’immanquable, l’inénarrable, l’indispensable saxophoniste de Madness, l’homme sans qui « One Step Beyond » n’existerait pas. Et quand le gaillard n’est pas occupé avec Madness, c’est du côté du LEE THOMPSON SKA ORCHESTRA qu’on le retrouve. C’est donc avec un plaisir non dissimulé qu’on vous apprend que le groupe va sortir son premier album, « The Benevolence of Sister Mary Ignatius », le 3 juin prochain sur Axe Attack Limited (déjà en précommande sur Amazon UK). (suite…)

Madness dans les studios de RTL et sur les scènes de France

Afficher l'image d'origineA l’occasion de sa venue récente à Paris pour un magnifique concert au Trianon le 11 mars dernier et pour la promo de son dernier album « Oui Oui Si Si Ja Ja Da Da », MADNESS a pris le temps de s’arrêter dans le Grand Studio de RTL, pour enregistrer une émission avec Eric Jean Jean (ils auraient pu prendre Georges Lang plutôt mais bon), avec au programme « Never Knew Your Name », « My Girl 2 », « Our House » et « One Step Beyond ». (suite…)

MADNESS COFFRÉ

MADNESS a sorti fin 2012 un excellent album, « Oui Oui Si Si Ja Ja Da Da », ça c’est bon, tout le monde a compris. Et bien les voilà qui six mois plus tard décident, comme pour « The Liberty Of Norton Folgate », de sortir un coffret « édition spéciale » avec pas moins de 70 titres sur trois CDs et un DVD. Le premier CD, c’est l’album normal. Le deuxième comporte 18 morceaux : 7 inédits, des démos et des mixages alternatifs. (suite…)

MADNESS – PARIS/LE TRIANON – 11 MARS 2013

11 mars 2013. C’est mon premier concert de MADNESS. Madness quoi ! LE groupe avec un grand G tu vois ! Arrivée à Barbes vers 19h30, on remonte le boulevard, on passe devant la triste façade de feue l’Elysée Montmartre, et nous voilà arrivés devant le Trianon, magnifique théâtre de la fin du 19e siècle. Deux balcons, moulures, parquet, lustre, bar à l’ancienne. Y a pas à dire, c’est un bien bel écrin pour accueillir Madness.

Sur scène, les Nantais de Yalta Club sont chargés de faire monter la température, et force est de constater qu’ils se démerdent comme des chefs avec leur mélange de pop, de rock et de folk avec du clavier et des cuivres dedans. Ça chante bien, ça joue bien, c’est pêchu, c’est fun, c’est frais, ça fait penser à des groupes comme I’m From Barcelona ou à une version joyeuse d’Arcade Fire. Belle entrée en matière. Sauf que nous, on est venus voir les Maddies. (suite…)

MADNESS DANS TARATATA

Les nutty boys de MADNESS étaient de retour le 25 janvier dernier dans Taratata, l’émission live de Nagui (qui fait tout plein de sourires) dans laquelle ils étaient déjà apparus en 2005 à l’occasion de la sortie de « The Dangermen Sessions ». Cette fois, c’est bien sûr leur nouvel opus imparable « Oui oui si si ja ja da da » qu’ils sont venus défendre avec une interprétation de la superbe « Never Knew Your Name » (j’adooore ce titre moi) et une interview aux petits oignons de Suggs (sept minutes) avec Nagui qui pose des questions mêmes pas idiotes, mais grand public dirons-nous (ben oui c’est pour France 2 quoi). (suite…)

Après le Trianon, Madness débarque à l’Olympia

Alors que les toutes dernières places du concert de MADNESS au Trianon (le 11 mars) sont en train de s’envoler (il en reste une poignée à choper sur http://www.fnacspectacles.com/), on vient d’apprendre que le groupe de Camden revenait à l’Olympia le 16 septembre prochain. Après avoir été quasiment absent des scènes françaises au cours des années 90, le groupe a  joué à l’Olympia en 2005, puis à Rock En Seine en 2009 (et même deux fois ! Merci les frères Gallagher !), puis au Zénith en 2010, et maintenant au Trianon et re-à l’Olympia.  Gâtés je vous dis, nous sommes gâtés ! Et leur dernier (excellent) album, « Oui Oui Si Si Ja Ja Da Da », est toujours disponible un peu partout. (suite…)

Un nouveau clip pour Madness

3098408_madness-logo[1]Bon, si vous n’avez pas compris que le nouveau MADNESS, « Oui oui si si ja ja da da » est excellent, ben allez le ré-écouter… Ou alors vous pouvez visionner le très beau clip en noir et blanc de « Never Knew Tour Name », le deuxième single (une tuerie monumentale !) du disque, qui vient tout juste d’être mis en ligne.  Superbe album, superbe morceau, superbe clip ! Et filez acheter votre place pour le concert du Trianon !

MADNESS AU TRIANON !

Après des décennies de disette en France où MADNESS mettait rarement les pieds, les années 2000 et la sortie de « The Dangermen Session » auront vu le groupe de Camden Town repointer le bout de son nez dans la capitale (Olympia, Zenith).  En début d’année, les fans avaient été déçus d’apprendre que le concert prévu au printemps au Trianon devait être annulé.

Et bien ça n’était que partie remise, puisque la salle du boulevard Rochechouart accueillera Madness le 11 mars prochain, soit près d’un an plus tard. Donc si vous avez 40 €  (quand même !) à claquer pour fêter la fin de l’hiver, vous savez déjà comment les investir.

http://www.facebook.com/#!/events/301132040003925/

MADNESS – OUI OUI SI SI JA JA DA DA – Lucky Seven/Atmosphériques

UN PEU D’HISTOIRE : Après des débuts en 1976 sous le nom de The North london Invaders (ils sont de Camden), c’est en 1979 que MADNESS voit réellement le jour. Le nom est emprunté à une chanson de Prince Buster, et leur premier single sobrement intitulé « The Prince » est un hommage au vieux chanteur jamaïcain, sorti en 1979 sur Two Tone Records. Le groupe part en tournée avec The Specials et The Selecter (hé oui on croit rêver), sort son premier album, « One Step Beyond » sur Stiff Records, et le succès est immédiat. Les singles de folie se succèdent, « The Prince », « One Step Beyond », « My Girl», « Night Boat To Cairo »… L’engouement pour Madness est énorme outre-Manche.

 En 1980, le second opus « Absolutely » connait à peu près le même sort et confirme le succès de la vague ska qui déferle sur la Perfide Albion.

A partir de 1981 et de l’album « 7 », Madness prend une orientation plus pop, inspirée par The Kinks et par le pub-rock de Ian Dury And The Blockheads. (suite…)