Rude Boy Train

THE JAMES HUNTER SIX – Whatever It Takes – Daptone Records

Résultat de recherche d'images pour "james hunter six whatever it takes"UN PEU D’HISTOIRE : Colchester, au nord de Londres. C’est de là que vient JAMES HUNTER, amateur de rhythm and blues et de soul, mais aussi de rockablilly, genre qu’il explorera au mitan des 80’s avec Howlin’ Wilf and the Vee-Jays, un de ses premiers groupes avec lequel il publiera trois albums et un maxi Ep.

James Hunter traîne sa guitare dans les clubs de Londres, se fait repérer par un certain Van Morrison qui apparaît sur le premier album solo du gaillard, « Ace », en 1996. Hunter se retrouve ensuite à accompagner Morrison sur scène, avant d’enregistrer trois autres albums jusqu’à la fin des années 2010 et de monter une formation qu’il appellera tout simplement THE JAMES HUNTER SIX.  (suite…)

Un nouvel album pour The James Hunter Six!

Le label new-yorkais Daptone Records vient d’annoncer la sortie d’un nouvel album du James Hunter Six. Ce cinquième album intitulé « Whatever It Takes » prévue pour le 2 février 2018 fait suite à l’excellent « Hold On » dont la chronique est à relire ici ! Ce nouvel opus sera produit comme le précédent par Gabriel Roth aka Bosco Mann fondateur avec Neal Sugarman dudit label et qui sait de quoi il cause quand il s’agit de bonne musique soul. Impatient…… (suite…)

The James Hunter Six en France

Résultat de recherche d'images pour "james hunter six"On prend un peu le train en marche car la tournée a déjà commencé (Reims, Andrésy…), mais il n’est pas trop tard pour s’informer, et pour choper un concert de THE JAMES HUNTER SIX, ce pur groupe de rhythm and blues signé par Daptone Records qui a sorti cette année son magnifique « Hold On ! ». (suite…)

THE JAMES HUNTER SIX – Hold On ! – Daptone Records

Afficher l'image d'origineUN PEU D’HISTOIRE : JAMES HUNTER, c’est un daron anglais de Colchester, au nord-est de Londres, amateur de rhythm and blues et de soul, mais aussi de rockablilly, genre qu’il explorera au mitan des 80’s avec Howlin’ Wilf and the Vee-Jays, un de ses premiers groupes avec lequel il publiera trois albums et un maxi Ep.

James Hunter traîne sa guitare dans les clubs de Londres, se fait repérer par un certain Van Morrison qui apparaît sur le premier album solo du gaillard, « Ace », en 1996. Hunter se retrouve ensuite à accompagner Morrison sur scène, avant d’enregistrer trois autres albums jusqu’à la fin des années 2010.

C’est là qu’il décide de monter une formation qu’il appellera tout simplement THE JAMES HUNTER SIX, puisqu’ils sont six, et peut-être que s’ils avaient été sept ils se seraient appelés The Magnificent Seven. (suite…)