Reggae Workers Of The World – II – Badasonic Records
UN PEU D’HISTOIRE: REGGAE WORKERS OF THE WORLD, c’est la dream team de Charleroi/New York/Los Angeles avec dedans Vic Ruggiero (Slackers), Jesse Wagner (Aggrolites), et Nico Leonard (Moon Invaders-Badasonics).
Après un premier album autoproduit fait de bric et de broc il y a trois ans et une poignée de dates en Europe, le trio revient avec son second opus sobrement intitulé « II », sur Badasonic Records, le label du batteur qui ne produit que de très belles référence…
LE DISQUE: Le 45 tours du mois dernier laissait présager le meilleur, et le meilleur est arrivé. Oui, « Jesse James » et « Every Once In A While » sont deux pépites magnifiques de finesse, du genre qui deviennent des hits dès les premières écoutes. (suite…)
DR WOGGLE AND THE RADIO – Drop Bombs To Lose – Autoprod
UN PEU D’HISTOIRE : On va pouvoir la faire courte pour une fois, vu qu’on vous a récemment parlé de Dr Woggle & The Radio dans ces lignes à l’occasion de la classic parue déjà en juillet l’année dernière, où l’on vous évoquait déjà un éventuel retour de la bande de Weinheim. On se contentera de rappeler que depuis la fin des années 90, le groupe est un des fers de lance de la scène ska-reggae allemande, orientation 60’s, et qu’avec ses quatre albums au compteur, dont un live, et des tonnes de dates dont les spectateurs ne pourront que vous vanter l’intensité, la Dr Woggle’s Team avait laissé un grand vide depuis 2012.
Le retour était donc fort attendu et c’est en ce tout début mai qu’est apparu, seulement sur les plateformes de streaming pour l’instant (une version cd étant d’ors et déjà précommandable et on croise les doigts pour une version vinyle) de « Drop Bombs To Lose » dont nous nous empressons de vous détailler les principaux atours. (suite…)
MONKEY – Intermittent Waves… – Squidhat Records
UN PEU D’HISTOIRE: MONKEY, c’est le groupe de la baie de San Francisco créé en 1995 en pleine vague californienne, même si c’est plutôt du côté d’Orange County que ça se passait à cette époque.
C’est autour du chanteur/guitariste Curtis Meacham que le groupe a sorti cinq albums: « Changito ! » en 97, « Station Wagon Living » en 2003, puis « Cruel Tutelage » chez Asian Man Records en 2005, suivi par « Lost At Sea » en 2008 et « Bananarchy » en 2015, toujours dans la belle maison de qualité de Mike Park, découvreur de talents devant l’éternel.
Le groupe, souvent composé de cinq musiciens, est resté très discret sur le vieux continent, même si Dr Ring Ding est allé tourner avec eux aux Etats-Unis. (suite…)
THE VOGS – A Change Is Coming – Q-Sounds Recording/Specific
UN PEU D’HISTOIRE: THE VOGS, c’est le tout dernier groupe (pour l’instant) de l’écurie Q-Sounds Recording, le magnifique label de Montreuil à la production pointue et toujours de qualité.
Le groupe est emmené par Elodie au chant, et comme tous les groupes maison par Ludovic Bors au clavier (accompagné par une fine équipe qui joue bien comme il faut).
Pas très ancien, le combo vient tout jsute de publier son premier album 100% pur soul que vous pouvez commander ici, en partenariat entre Q-Sounds et le label messin Specific Recordings. (suite…)
TOKYO SKA PARADISE ORCHESTRA – Glorious – Justa Records
UN PEU D’HISTOIRE: On ne sait plus très bien où on en est dans la carrière de l’incontournable groupe nippon, qui communique tellement mal qu’on a failli ne pas savoir qu’un nouvel album était sorti. Et pourtant au Japon c’est encore eux les meilleurs en com’. C’est dire le niveau des autres…
En plus les albums sont introuvables depuis 10 ans, et certains diront que le combo a perdu de sa superbe avec le départ du frontman Tatsuyuki Hiyamuta en 2008. Sauf que « Paradise Has No Border » était un très bon album.
Pas sûr qu’on puisse en dire autant de « Glorious », qui doit être leur dix-neuvième opus (quand même)… (suite…)
THE DUSTBURDS – SUMMER PLEASURES – Casual Records/Dangerhouse/GPS
UN PEU D’HISTOIRE: THE DUSTBURDS, c’est un groupe avec dedans des gaillards (et une gaillarde) issus de pas mal de combos de la scène alternative hexagonale (et un peu suisse) : Les Milliardaires, 65 Mines Street, Demon Vendetta, Mighty Bombs, Jesus Is My Girlfriend, Respublika Von Tastika…
Musicalement, c’est un mélange de soul, de rhythm’n’blues, de garage et de pop 60’s. Bref, du son pour modernistes avec des chelsea au pieds et des blousons en cuir bien cintrés.
Bonne nouvelle : à peine le groupe nous a-t-il informés de son existence, qu’il nous a annoncé la sortie le 16 février d’un premier album intitulé « Summer Pleasures », sur Casual Records, GPS Prod et Dangerhouse Skylab. Il fallait forcément qu’on en parle sur RBT… (suite…)
THE BERBISEYANS – Secret Avenger – Casual Records/Maloka/Guerilla
UN PEU D’HISTOIRE : Dijon, ses Tanneries, son équipe de foot, sa cathédrale, son festival « Moutarde et Cinéma », ses BERBISEYANS… The Berbiseyans, c’est le groupe skinhead reggae du coin formé en 2014 avec au chant Max, à la gratte Ferdy, à la basse Balls of Grapes, au clavier Dr Psych, et à la batterie Jej. Le groupe a sorti une démo six titres en octobre 2014, a joué avec The Upsessions, Bad Manners, Smooth Beans, avec les presque voisins de 65 Mines Street et avec tant d’autres…
Le quintet a ensuite publié un 45 tours début 2016, et a annoncé il y a quelques semaines que son premier album sortirait conjointement chez Casual Records, Maloka, Guérilla et Rudy’s Back, comme ça y a pas de jaloux. Le disque s’intitule « Secret Avenger », et le groupe a récemment fêté sa sortie aux Tanneries avec les potes de Subpressure et les Italiens de Skassa Punka. Et même que c’est téléchargeable gratuitement. (suite…)
CAZ GARDINER & THE BADASONICS – REGGAE WORKERS OF THE WORLD – BADASONIC RECORDS
UN PEU D’HISTOIRE : BADASONIC RECORDS, c’est le tout nouveau label belge installé entre Charleroi et Bruxelles, avec derrière Nico Leonard (Caroloregians, Moon Invaders, Reggae Workers of The World…) accompagné de son pote Brieuc Labiouse.
Même pas un an d’existence, et voilà Badasonic Records qui publie son premier 45 tours avec dessus la grande CAZ GARDINER, accompagnée pour l’occase par THE BADASONICS, le combo dans le lequel on retrouve Nico Leonard (forcément), et une bonne partie des Moon Invaders/Caroloregians.
Quant à la seconde référence, elle est à peu près du même niveau, puisque’il s’agit du nouveau 45 tours de REGGAE WORKERS OF THE WORLD, l’irrésistible trio de Jesse Wagner (Aggrolites), Vic Ruggiero (Slackers) et Nico Leonard. On n’a pas pu s’empêcher de vous en parler… (suite…)
TWO TONE CLUB – Don’t Look Back – Productions Impossible Records
UN PEU D’HISTOIRE: le TWO TONE CLUB débute sa carrière en 1999 à Montbéliard sur les cendres des ex-Gangsters All Stars, prenant le parti pris original d’affubler à chacun de ses musiciens un surnom lié à une couleur, en référence à Reservoir Dogs.
Ses influences couvrent toutes les périodes du ska : 60’s, two tone, revival, avec des gros morceaux d’early reggae et de rocksteady dedans. Le groupe profite allègrement de sa situation géographique pour jouer un peu partout en Europe
Après son premier EP, « We’re Going… » sortit sur Like A Short Records en 2001, ils publient leur premier album, «One», dès 2002, chez Productions Impossible Records. Dans la foulée, le groupe participe au Dance Ska La à Rennes et figure avec trois titres sur la compilation live du festival.
En 2004, Two Tone Club participe aux Eurockéennes de Belfort. Le deuxième album, « Turn Off », mixé par Victor Rice (Stubborn Allstars, Firebug, ex- Slackers…), sort sur le même label en 2005 et est réédité ensuite par Big 8 Records et Grover Records. Two Tone Club participe à de nombreux festivals, notamment le cultissime Postdammer Ska Fest en Allemagne et au Dutch Ska Fest aux Pays-Bas. Il obtient alors autant de succès par chez nous qu’au delà de nos frontières. (suite…)
THE JAMES HUNTER SIX – Whatever It Takes – Daptone Records
UN PEU D’HISTOIRE : Colchester, au nord de Londres. C’est de là que vient JAMES HUNTER, amateur de rhythm and blues et de soul, mais aussi de rockablilly, genre qu’il explorera au mitan des 80’s avec Howlin’ Wilf and the Vee-Jays, un de ses premiers groupes avec lequel il publiera trois albums et un maxi Ep.
James Hunter traîne sa guitare dans les clubs de Londres, se fait repérer par un certain Van Morrison qui apparaît sur le premier album solo du gaillard, « Ace », en 1996. Hunter se retrouve ensuite à accompagner Morrison sur scène, avant d’enregistrer trois autres albums jusqu’à la fin des années 2010 et de monter une formation qu’il appellera tout simplement THE JAMES HUNTER SIX. (suite…)