Rude Boy Train

RUDE BOY TRAIN’S – THE MIGHTY MIGHTY BOSSTONES – Let’s Face It – (Mercury/Big Rig-1997)

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« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois… 

UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE (RAPPEL): L’histoire se passe dans l’une des plus européennes des villes américaines. L’une des plus irlandaises même. Boston. Massachusetts. Nous sommes en 1985, et un groupe se forme sur les cendres de deux combos hardcore du coin. Un bassiste, Joe Gittleman, va rencontre un chanteur, Dicky Barrett. Ensemble, il vont former un groupe qui au départ va s’appeler The Bosstones. Des line-up  se forment et se transforment, Tim Burton (sax) et Nate Albert (guitare) sont déjà de la partie, et le groupe décide d’allonger son blaze pour devenir THE MIGHTY MIGHTY BOSSTONES, Bosstones tout court ayant déjà été utilisé par d’autres.

Le groupe mélange le ska cher à Dicky Barrett, au hardcore cher à Joe Gittleman, et publie en 1989 sur Taang ! Records son premeir album, « Devils Night Out », qui sera le premier disque de skacore de l’histoire. Car à l’époque, Operation Ivy fait dans le ska-punk. Ska-punk, skacore, tout cela est un peu pareil, mais on ne sait pas encore qu’on vient d’assister là au début d’un vague qui va bientôt se transformer en raz de marrée. (suite…)

Rude Boy Train’s Classics: The Beat – I Just Can’t Stop It (Go Feet Records 1980).

71g+dJREIcL._SL1400_« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois… 

UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE :  The Beat c’est l’autre groupe de la scène 2-Tone, mouvement éphémère et incontournable de la musique anglaise, revival ska teinté d’énergie punk à l’esprit «so british» de la fin des 70’s en Grande Bretagne. L’autre groupe car il n’était probablement pas simple de se faire une place au milieu des pointures du genre que furent les Spécials, Madness et autres Sélecter.

De fait The Beat n’est pas le plus connu de cette scène furtive et pourtant si riche. Pas totalement ska, pas franchement punk non plus et pas complétement pop, en fait The Beat c’est un peu tout ça à la fois, un mélange savant et original, loin des clichés et autres effets de modes qui sclérosent les groupes trop dépendants d’un mouvement dont il faut aussi pouvoir s’affranchir pour rester original. (suite…)

RUDE BOY TRAIN’S CLASSICS – RUDE BOY SYSTEM- They Say (RBS Prod-1999)

« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois…

UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRES’il y a un mérite que l’on ne pourra pas retirer aux groupes ska-rock à tendance festive des années 90-2000, c’est bien d’avoir, grâce à leurs réels succès, remis en avant toute une scène ska française quelque peu moribonde, ou du moins très peu exposée.

Rude Boy System fait partie de ces groupes dont on n’aurait peut être jamais entendu parler sans cette vague et qui ont eu un réel impact sur tout une génération, la mienne, permettant de remettre bon nombre de brebis égarées dans le droit chemin du ska trad et du rocksteady. Formé en 1993 au Mans, RBS sort en 94 son premier trois titres en version cassette (mais oui, la petite boite en plastique avec les deux petits trous au milieu !) dont « The Implantation » et les quatre suivants dont l’excellent « Put It On It » en 96 sous le même format. (suite…)

RUDE BOY TRAIN’S CLASSICS – THE BUSTERS – Dead Or Alive (Weserlabel – 1991)

Afficher l'image d'origine« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois…

UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE : C’est du côté de Wiesloch, dans le land du Bade-Wurtemberg, que THE BUSTERS voit le jour en l’an de grâce 1987. Au départ, The Busters c’est : Thomas Scholz et Klaus Huber au chant, Max Grittner à la basse, Hans-Jorg Fischer et Peter Quintern au sax, Jan-Hinrich Brahms au trombone, Hardy Appich à la trompette, Martin Keller à la guitare, Jesse Gunther aux percus, Markus Schramhauser et Stephan Keller aux claviers, ainsi que Gunther Hecker à la batterie. Douze musiciens donc, dont deux chanteurs, deux saxophonistes, deux claviers et un batteur + un percussionniste ! (suite…)

Madness – One Step Beyond – (Stiff Records 1979)

Madness_One_Step_Beyond« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois… 

UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE:   L’année 2016 marquera les 40 années d’existence de Madness. C’est donc peu de dire que l’on s’attaque là à un monument de la musique britannique. Originaire de Londres et plus précisément de Camden Town (le détail a son importance) le groupe se forme donc en 1976 autour Mike Barson (« Barso »), Chris « Chrissy Boy » Foreman, Lee « Kix » Thompson et Chas Smash (de son vrai nom Cathal Smyth), tout d’abord sous le nom de « The Invaders ».

En janvier 1979, après l’arrivée de Graham « Suggs » McPherson, Mark Bedford et Dan Woodgate, le combo adopte le nom de Madness, en hommage à Prince Buster et son célèbre titre « Madness (is gladness) » (1961). D’ailleurs le premier single de Madness sera un cover  de Prince Buster, intitulé The Prince sorti sur le label Two-Tone. Toujours en 1979, le groupe quitte le label a damiers de Jerry Damners pour Stiff Records, label mythique d’une époque ou l’on retrouve la crème du mouvement punk (The Plasmatics, The Damned, Nick Lowe, The Adverts…) puis de la « new wave » (The Pogues, Lene Lovich, Elvis Costello & the Attractions, Ian Dury & the Blockheads…) ! La signature de Madness sur le label n’est pas sans intérêt et apportera à Stiff Record le succès et des retombées financières plus que conséquentes. Un premier single « Al Capone » sort courant 1979 avec en face B une nouvelle reprise de Prince Buster « One Step Beyond ». (suite…)

RUDE BOY TRAIN’S CLASSICS – THE SLACKERS – Peculiar (Hellcat Records/2006)

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« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois… 

UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE : Depuis plus de vingt ans, THE SLACKERS, à force d’albums impeccables et de tournées incessantes à travers le monde est devenus une référence de la scène ska mondiale…

Le groupe naît à New York en 1991 autour du talentueux clavier et chanteur Vic Ruggiero… Ils jouent à l’époque un two-tone mêlé de garage rock et de quelques touches de rocksteady. C’est rugueux, dynamique, mais loin des merveilles dont le groupe va se révéler capable. En 1996 alors que Dave Hillyard vient de quitter sa Californie natale et le groupe Hepcat pour les rejoindre, ils enregistrent, « Better Late Than Never », produit par Victor Rice, qui définit les premiers contours de ce que sera le son des Slackers, proche des racines jamaïcaine, mais sous forte influence soul et blues. D’emblée le groupe en impose avec des titres comme « Sooner or Later », entraînant, « You Don’t Know I », ou « Sarah » encore souvent repris en live aujourd’hui. Ils signent alors chez Hellcat Records en plein boum punk et ska outre Atlantique. (suite…)

Rude Boy Train’s Classics: INTENSIFIED-FACEMAN SOUND (Grover Records-1999)

« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois… 

UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE :  Quand on parle ska et Royaume-Uni, on pense forcément two tone. Cela serait bien vite oublier que dès la fin des années soixante, l’île, avec sa forte colonie Jamaïcaine, devient  un des bastions mondial de cette musique dans sa version traditionnelle. Cet ancrage aura inspiré nombre de vocations dont celle des excellents Intensified, qui depuis bientôt 25 ans distillent leur excellent cocktail de ska, rocksteady et early reggae.

Créé donc en 1990, ce n’est qu’en 91 qu’on trouve les premières traces d’enregistrements officiels du groupe, format cassettes, époque oblige (mais oui la petite boite en plastique avec les deux rouleaux bizarres au milieu !). Le premier 45t ne voit le jour que deux ans plus tard sur le label Swingeasy Records avec « Marguerita » qui reste aujourd’hui un des titres emblématiques de la bande de Folkstone. (suite…)

Rude Boy Train’s Classics – JIM MURPLE MEMORIAL – THE STORY OF JIM MURPLE MEMORIAL (Patate Records-1999)

« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois…

UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE : C’est en 1996 au cœur de Montreuil que débute la belle aventure du Jim Murple Memorial : quelques zicos s’unissent autour de la voix délicieusement vintage de Nanou Benoit avec comme projet ambitieux de mixer, comme à la grande époque des pionniers des studios jamaïcains, les musiques nord-américaines et caribéennes des années 50 et 60.

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Rude Boy Train’s Classics – LAUREL AITKEN & COURT JESTER’S CREW – JAMBOREE (Grover Records-2001)

« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois…

UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE: Vous avez peut être déjà entendu parler de Laurel Aitken ? Allez, je chambre, bien sûr, mais Laurel Aitken est bel et bien un des incontournables monuments de la scène ska, de la musique jamaïcaine même, «The Godfather Of Ska » que personne ne peut encore ignorer et qui nous quitta trop tôt en 2005 d’un infarctus. (suite…)

Rude Boy Train’s classics – MALARIANS – HOSTAL CARIBE (SKATOWN/PLASTIC DISC/GROVER RECORDS-1998)

!! MALARIANS " Hostal Caribe ".....Discaso de ska de españa.... - El grupo se forma en 1986 en Madrid. Comienzan con el nombre de Ton Ton Macoute, cambiando más tarde a Guaqui Taneke, con el que empiezan a ser conocidos en los circuitos de ska y reggae. Con este nombre graban sus primeras referencias: dos temas para los recopilatorios Rock’n'Moncloa (1989) y Latin Ska Fiesta (1990). En 1990 cambian su nombre a Malarians, inspirado en un médico jamaicano conocido como Dr. Malaria. Su primer álbum, Guaqui Taneke, se graba en febrero de 1991 en los Q Studios en Leicester (Inglaterra), bajo las órdenes de Rob Nugent como técnico y Laurel Aitken como productor. Este último participa a la voz en los temas «Nobody talks to you» y «Black pussy ska». El disco se presenta en una gira por España y Portugal acompañados por Laurel Aitken. Debido a numerosos problemas y tensiones entre los miembros, la banda se disuelve. 1993 es un año clave. Jaime Girgado y Gabi Peris (como miembros fundadores) junto a Julio Sánchez y Carlos Blázquez (que habían tocado en Guaqui Taneke), deciden refundar la banda. El grupo se recompone entrando como vocalistas Rubén López (cantante y guitarrista de Manifiesto es Dios) y Begoña Bang Matu (ex cantante de un grupo de rhythm’n'blues llamado La Noche de la Iguana), así como Antonio J. Iglesias a la batería y una nueva sección de vientos. Se produce un giro en el sonido hacia ritmos latinos y soul, sin olvidar en ningún momento el ska como base. La banda comienza a girar de nuevo, y durante este año y 1994 dieron muchos conciertos por España y Europa, paticipando además en numerosos festivales de música jamaiquina. Estos años comparten escenarios con grupos como The Skatalites o Radio Bemba Sound System. En 1996 entran a grabar su segundo álbum, Mind the Step!, el primero con la nueva formación. Repiten estudios y técnico, pero esta vez son ellos mismos los que toman las riendas de la producción. Laurel Aitken vuelve a colaborar en los temas «Ben Gunn» (voz), «Perdes el tren» (voz) y «Don’t leave la Habana» (maracas). Hostal Caribe, su tercer disco, llega en 1998. Es su disco más aclamado por la crítica y el favorito de varios de sus miembros. Buscando un sonido más profesional dejan Inglaterra y graban en los estudios N.C. de Boadilla del Monte (Madrid), bajo la mirada de Chema de la Cierva como técnico y Kevin Delahaye como productor. Lo editan en su popio sello, Skatown Records, en colaboración con el sello catalán Plastic Disc. El buen sonido del disco anima a sus miembros a embarcarse en giras por Italia, Francia, Alemania, Suiza o Finlandia, tocando con grupos como Toots and the Maytals, Laurel Aitken, Dr. Ring-Ding o The Selecter. En 2000 - Fotolog

« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois…

UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE: Les Malarians, c’est un des piliers de l’histoire du ska hispanique. Fondé à Madrid en 1986 sous le nom de Ton Ton Macoute autour du guitariste Jaime Girgado et du bassiste Gabi Peris, c’est en tant que Guaqui Taneke qu’ils commencent à se faire remarquer sur la scène ska et reggae espagnole et sortent deux titres sur les compil’ Rock’Ne Moncloa en 89 et Latin Ska Festival en 90. (suite…)

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