Rude Boy Train

Rude Boy Train’s Classics – The Aggrolites – IV (Hellcat Records/2009)

« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois… 

UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE: Les cinq membres de The Aggrolites commencent à faire de la musique ensemble à Los Angeles en 2002 en tant que backing-band de Derrick Morgan. Certains membres du groupe ont auparavant joué avec The Rythm Doctors et The Vessels, des groupes ska locaux (Jesse Wagner et Brian Dixon avaient déjà fait équipe au sein des excellents See Spot). Le travail d’accompagnement de Derrick Morgan se passe à merveille et les cinq lascars décident de continuer un bout de chemin ensemble. (suite…)

The Dead 60’s – The Dead 60’s – Deltasonic Records / Epic Records.

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« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois…

UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE: Dans la famille musicale typiquement british les Dead 60’s représentent un espèce de modèle. Anglais jusqu’au bout des guitares le groupe se forme au début des années 2000 s’appelant successivement Pinhole puis Resthome avant de prendre son nom définitif en 2003. Histoire  d’évacuer directement le sujet des influences, oui les Dead 60’s aiment Lee Scratch Perry, les Clash, les Specials et Madness ! La chose a été dite, écrite et redite …. oui mais voilà comparaison n’est pas raison et le quartet n’aura de cesse durant sa courte carrière d’affirmer une vraie identité, une véritable originalité, celle qui fait la richesse du rock anglais. Après un second album « Time to Take Sides » en 2007 sur le label Deltasonic Records le groupe se sépare début 2008 juste parce que « le groupe avait fait son temps » ! Pour la petite histoire, comble de la réussite, le groupe verra même une série de blousons Harrington portant son nom sortir en édition limitée chez Fred Perry. Si c’est pas la classe ! (suite…)

Rude Boy Train’s Classics – THE MIGHTY MIGHTY BOSSTONES – Devils Night Out – (Taang Records ! / 1989)

« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois… 

UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE: L’histoire se passe dans l’une des plus européennes des villes américaines. L’une des plus irlandaises même. Boston. Massachusetts. Nous sommes en 1985, et un groupe se forme sur les cendres de deux combos hardcore du coin. Un bassiste, Joe Gittleman, va rencontre un chanteur, Dicky Barrett. Ensemble, il vont former un groupe qui au départ va s’appeler The Bosstones. Des line-up  se forment et se transforment, Tim Burton (sax) et Nate Albert (guitare) sont déjà de la partie, et le groupe décide d’allonger son blaze pour devenir THE MIGHTY MIGHTY BOSSTONES, Bosstones tout court ayant déjà été utilisé par d’autres. (suite…)

Rude Boy Train’s Classics – The One Night Band – Hit & Run – (Stomp Records/2008)

« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois… 

UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE: En 2003, une bande de potes de Montréal décide de donner un concert d’un soir. Ils sont amateurs de ska, de rocksteady, de reggae et de rock’n’roll et se prennent au jeu. THE ONE NIGHT BAND est né.

Alex Giguère s’occupe de la guitare et du chant, Dave Carignan de la basse, Larry Love du clavier, Eric Morin de la batterie, Jacinthe Michaud du sax alto, Christiane Charbonneau du sax ténor et Patrick Taylor du trombone.

Le joyeux septet se produit au Québec, en Ontario et aux USA avec des pointures ska et punk : Toasters, Mad Caddies, Planet Smashers, The Briggs… et enregistre deux démos, « Session A » en 2004 et « Session B » en 2005, histoire de démarcher à droite à gauche. Évidemment, le groupe est installé à Montréal et l’incontournable label local Stomp Records (Subb, Planet Smashers, General Rudie…) leur met le grappin dessus. (suite…)

Rude Boy Train’s Classics – Chickenpox – Stay Away From The Windows (Burning Heart/1998)

« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois… 

UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE: Label suédois indépendant des années 90, Burning Heart Records lance la carrière internationale de nombre de groupes punk ou hardcore de la scène scandinave comme Millencolin, The Hives ou Refused. Afin d’élargir sa force de frappe, la firme s’est rapidement affiliée au géant californien Epitaph concernant la distribution en Amérique du nord. Aujourd’hui au point mort, Burning Heart a complètement dilué son catalogue et son identité dans Epitaph. (suite…)

Rude Boy Train’s Classics – Soul Invaders – Chapter One (Banana Juice/Redheadman – 2005)

Soul Invaders« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois… 

UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE: Les SOUL INVADERS resteront comme un ovni de l’histoire de la scène ska Française. Ovni parce que la musique du groupe, solidement appuyée sur une costaude section cuivre avec sax baryton et flûte traversière omniprésents, un chant au caractère plutôt trempé, et des compos mélanges de skin reggae, reggae, ska, soul et funk avec même quelques influences afro, ne ressemble a rien de ce que l’on avait pu produire par chez nous jusque là… (suite…)

Rude Boy Train’s Classics – The Pietasters – Willis (Hellcat Records/1997)

« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois…

UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE: En 1990, du côté de la Virginie, Steven Jackson et Chris Watt vont au lycée et commencent à jouer des reprises punk, histoire de s’occuper le dimanche. Un de leurs potes, Tal Bayer, les rejoint et leur suggère de monter un groupe de ska. Tom Goodin et Ben Gauslin rejoignent la fine équipe. C’est le début de The Slugs. Ils mélangent ska, reggae et punk-rock et sont inspirés par Madness, Bad Manners ou The Skatalites. The Slugs étant un patronyme déjà utilisé par d’autres, les gaillards pensent un temps s’appeler Dancehall Crashers. Sauf qu’un (excellent) groupe ska californien s’appelle déjà ainsi. On leur suggère « The Pietasters » et ils disent banco. (suite…)

RUDE BOY TRAIN’S CLASSICS – THE KINGPINS – LET’S GO TO WORK (STOMP RECORDS/NoCo – 1999)

« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois…

UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE : THE KINGPINS est,  avec The Planet Smashers, un des groupes essentiels de la scene ska Québecquoise. Fondés en 1994 autour de Lorraine Muller au Sax, l’incontestable leader de la troupe, ils remportent dès leur première sortie « On The Run », un cd deux titres, le prix du meilleur single du  Montreal Independent Music Industry en  1995. Le premier album « Watch Your Back » » de 1997 restera plutôt confidentiel, même si sur scène, leur succès est grandissant. (suite…)

RUDE BOY TRAIN’S CLASSICS – PRESSURE COOKER – S/T (AUTOPROD/1999)

Pressure Cooker | Pressure Cooker

« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois…

UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE : Pour quiconque tente un jour de s’intéresser au ska, il y a les évidences, ces groupes phares  qui,  à coup de bons albums, de tournées internationales régulières et de signatures sur des labels à gros moyens, ont acquis des renommées bien méritées qui dépassent les frontières. Et puis il y a ceux, à l’instar de PRESSURE COOKER qui tracent leur route sur des chemins moins exposés et qui mènent une carrière plus discrète mais tout aussi riche. Il faut alors un petit coup de pouce, un conseil d’un ami avisé pour éviter de passer à côté d’un groupe au demeurant incontournable de la scène US.

Le groupe du chanteur et leader naturel  Craig Akira Fujita et du clavier Zack Brines, que l’on a entendu récemment aux cotés de Jr Thomas ou de The Void Union, se forme a Boston en 1997 et sort son premier opus éponyme dès 1999. L’orientation est assez reggae, parfois limite ragga grâce à l’immense palette vocale de Fujita qui est un des gros points forts du groupe, mais avec des gros et bons morceaux de ska dedans, le tout magnifiquement orchestré et produit entre  tradition et modernité. A noter la présence au line-up de ce premier skeud d’un certain Glen Pine qui partira rejoindre rapidement les Slackers. (suite…)

Rude Boy Train’s Classics – THE SLACKERS – Wasted Days (Hellcat Records/2001)

UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE: Depuis plus de vingt ans, les Slackers, a force d’albums impeccables et de tournées incessantes a travers le monde sont devenus une référence de la scène Ska mondiale…

Le groupe naît à New York en 1991 autour du talentueux Clavier et Chanteur Vic Ruggiero… Ils jouent a l’époque un two-tone mêlé de garage rock et de quelques touches de Rocksteady. C’est rugueux, dynamique, mais loin des merveilles dont le groupe va se révéler capable. En 1996 alors que Dave Hillyard vient de quitter sa Californie natale et le groupe Hepcat pour les rejoindre, ils enregistrent, « Better Late Than Never », produit par Victor Rice qui définit les premiers contours de ce que sera le son des Slackers, proche des racines jamaïcaine, mais sous forte influence soul et blues. D’emblée le groupe en impose avec des titres comme « Sooner or Later » entraînant, « You Don’t Know I », ou « Sarah » encore souvent repris en live aujourd’hui… Ils signent alors chez Hellcat Records en plein boom punk et ska outre Atlantique.

« Redlight » sort en 1997, a peine un an après leur premier effort. Les titres « Cooking For Tommy », ska hommage puissant à Tommy Mc Cook, « Married Girl », « She Wants To Be Alone », premier essai très réussi d’auteur et de chanteur du trompettiste Jeremy Mushlin ou bien le somptueux reggae « Rude and Reckless » donnent le ton : ce groupe sera un des plus créatifs et talentueux de la scène ska US . (suite…)

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