Rude Boy Train

Un single pour KING COOPER

On a peu d’info sur KING COOPER,  et encore moins sur son SIGNAL ONE BAND. Ce qu’on sait c’est que le type s’appelle Jan Cooper, que c’est un musicien de jazz néerlandais, et qu’il vient de s’essayer au ska avec pas mal de brio même si le son jamaïcain ne lui est pas étranger puisqu’il a déjà accompagné Rootz Lions, l’excellent groupe de reggae de Rotterdam.

C’est donc sous le nom de KING COOPER & THE SIGNAL ONE BAND qu’il a mis en ligne son premier single, « Test Pressure Ska », accompagné d’une version alternative, le tout à écouter juste après. Vous hésitez ? Et si je vous dit que King Cooper est accompagné au clavier, aux percus et à la gratte par Ras P (oui oui, celui des High Notes) ? Read More

Le bel Ep de ROOTZ LIONS

Voilà, comme on les a cités au-dessus, autant approfondir un peu avec ROOTZ LIONS, groupe reggae de Rotterdam. La quatuor a démarré en 2016 autour de Carlos Silva aka Rootz Lion, un bassiste bien connu du milieu reggae des Pays-Bas puisque le gars a déjà travaillé avec Michael Rose ou Lee Perry. Avec Gillan Mijnals à la gratte, UJ Maruanaya à la batterie et Erik Ritfeld au clavier, le groupe vient de sortir un maxi Ep accompagné par deux cuivres en invités : le Serbe Hornsman Coyote au trombone, et le Hollandais Jan Cooper au sax.

Le disque s’intitule « Dub Meets Horns », comme vous vous en doutez c’est du reggae teinté de dub, ça reprend Yabby You, The Skatalites, Tommy McCook ou Rico Rodriguez, et franchement ça mérite un bon petit coup d’oreille parce que c’est pas de la musique de crados. Read More

THE BUSTERS – Straight Ahead – Ska Revolution Records

Résultat de recherche d'images pour "the busters straight ahead amazon"UN PEU D’HISTOIRE: Wiesloch, près d’Heidelberg. c’est là que tout démarre en 1987. THE BUSTERS, c’est bientôt un tiers de siècle de ska, sans le moindre split, sans le moindre hiatus, sans la moindre chute de régime. Des changements de line-up par contre, il y en a eu. The Busters a presque toujours été un groupe à deux chanteurs, avec notamment l’exceptionnelle paire des débuts (jusqu’à « Sexy Money »), Thomas Scholz et Klaus Huber, et puis bien sûr il y avait, jusqu’en 2000, le compositeur et bassiste Markus Grittner…

Treize albums en 28 ans, trois live, un superbe best-of  en 1997 avec les morceaux entièrement réenregistrés (« Boost Best »), des concerts à la tonne (mais surtout en Allemagne où le groupe a connu pas mal de succès), trois premiers disques archi-cultes et une rencontre au  sommet avec Laurel Aitken en 1989. The Busters a sorti ses albums sur WeserLabel, puis sur Sony Music, Dogsteady et Ska Revolution Records, le label créé pour le groupe par Markus Schramhauser, l’un des deux claviers. Read More

The Berbiseyans sur Casual Records

L’image contient peut-être : 5 personnes, barbeBonne nouvelle, y a THE BERBISEYANS, quintet dijonnais qui aime le skinhead reggae, le ska et plussi affinités, qui se décide à sortir son premier album. Et c’est forcément chez les excellents nancéiens de Casual Records que ça se passe.

L’album devrait sortir en vinyle début 2018, il s’intitule « Secret Avenger », et le groupe nous envoie un extrait uptempo qui s’appelle « Medinina », pas dégeu du tout avec son gros clavier, et qui s’écoute juste ici : Read More

Un excellent podcast 100 % Busters par El Inspector

L’image contient peut-être : 7 personnes, personnes souriantesAu Venezuela, il y a Joel Amaro et ses potes de EL INSPECTOR qui font des émissions de radio depuis 1995 sur La Mega. Maintenant c’est sous forme de podcast que c’est disponible partout dans le monde, et figurez-vous qu’ils en sont à l’épisode 1618 ! C’est incroyable mais c’est vrai.

Actualité oblige, les activistes du contretemps nous ont pondu une petite émission entièrement consacrée aux BUSTERS qui est de toute beauté. Je vous laisse découvrir le programme ci-dessous et surtout écouter l’émission, avec que de la bonne came entrecoupée de commentaires de Dr Ring Ding. Magnifique boulot, idéale pour découvrir ou redécouvrir l’usine à tubes d’outre-Rhin ! Bravo El Inspector ! Read More

Two Tone Club, Hannah Williams, The Excitements… belle prog au Moloco

L’image contient peut-être : 3 personnes, personnes souriantes, texteY en a qui ont de la chance d’habiter dans le coin d’Audincourt. Car le MOLOCO, la salle de musiques actuelles du coin, soigne sa programmation pour le début de l’année 2018.

Le 3 février, les Anglais de HANNAH WILLIAMS & THE AFFIRMATIONS et les Espagnols de THE EXCITEMENTS se partageront l’affiche pour une soirée soul/funk »This is soul ! » qui s’annonce absolument torride ! Read More

Un peu de nouveauté chez les Bluebeaters

Résultat de recherche d'images pour "tempo the bluebeaters"C’est presque la période des fêtes, donc c’est le moment pour THE BLUBEATERS, magnifique combo italien (du coin de Turin), de faire comme les crooners et les chanteuses à voix américaines, et de nous balancer une petite chanson de noël. Le morceau s’appelle « Natale Stupedo », c’est forcément pas vilain, et le clip est à voir juste après.

Et même que les Transalpins en profitent pour mettre en ligne leur nouveau single, « Tempo », dont la vidéo circule depuis maintenant quelques semaines. Cela augure-t-il d’un nouvel album pour 2018 ? Read More

Le premier album de Newtown Rocksteady arrive

L’image contient peut-être : 12 personnes, personnes souriantes, plein airSur RBT on vous a déjà parlé de NEWTOWN ROCKSTEADY, groupe de Newtown en Nouvelle-Zelande (un quartier de Wellington, la capitale), qui n’est pas réellement un groupe de rocksteady, mais plutôt un combo qui mélanges les styles jamaïcains avec une préférence pour le reggae.

Après quelques Ep et singles, le groupe pléthorique (ils sont au moins treize sur scène) se décide enfin à publier un premier album qui s’intitule « East Of The Tasman » et qui sort vendredi en autoproduction.

C’est disponible en format numérique ou en CD sur bandcamp, et trois titres  qui reflètent bien les différentes facettes du groupe sont en écoute par ici : Read More

DEATH OF GUITAR POP- 69 Candy Street – Ska Club Essex

UN PEU D’HISTOIRE : Death Of Guitar Pop, en voilà un nom qui tabasse! Une fois n’est pas coutume, c’est bien d’un tout nouveau groupe dont on va vous parler, tout droit venu d’Essex, Great Britain, ce qui laisse augurer des influences à venir.

Jonny et Silky sont donc les leaders de ce groupe qui semble n’avoir qu’une poignée de semaines d’existence, et qui n’a joué pour la première fois en live band que ce 1er décembre dernier !

Ils se consacrent donc à bichonner ce premier album nommé « 69 Candy Street » sorti il y a quelques jours en version numérique et CD, une version vinyle étant prévue pour le début de l’année 2018. Read More

RUDE BOY TRAIN’S CLASSICS – CLANCY ECCLES – Freedom (Clandisc/Trojan Records-1969)

« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois…

UN PEU(BEAUCOUP) D’HISTOIRE : Eglise de la paroisse avec papa et maman, participation à la chorale, chanteur pour touristes puis zicos ou choriste d’un groupe à succès local, puis déménagement à Kingston pour finir repéré par Coxsone Dodd et explosion : voilà le parcours stéréoptypé et quasi imparable de la plupart des top-singers de Jamaïque des années 60,  auxquels Clancy Eccles n’échappa pas. Né à Dean Pen en 1940, il rentre rapidement comme chanteur dans le circuit des hôtels de la côte Nord-Ouest. Il quitte ses parents pour Ochos Rios et intègre les shows des Blues Busters. Il part alors pour Kingston ou il est rapidement repéré par Coxsone, qui lui fait enregistrer  « Freedom », un des tout premiers ska qui deviendra un de ses hymnes, dès 1959, ainsi que « River Jordan ». Les deux titres tourneront en exclu dans les sounds du patron pendant près de deux ans avant de n’être enfin pressés qu’en 1961. Read More

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