Rude Boy Train

THE UTOPIANS-LOOK AROUND YOU-BADASONIC RECORDS

UN PEU D’HISTOIRE : The Utopians, c’est le tout dernier projet en date de Nico Leonard, l’infatigable batteur des feux Moon Invaders et Caroloregians,  producteur de talent, meneur des Badasonics et accessoirement big boss avec Brieuc Labiouse du formidable label Badasonic Records. Depuis 2021, il est à nouveau associé à son bassiste fétiche Arnaud Pemmers ainsi qu’au clavier Yoann Gruzien, au guitariste Romain Trigaux et au guitariste et chanteur talentueux Nicolas Nsakala autour de ce projet qui se veut funky reggae, ce qui décrit assez bien le style développé depuis lors.

Avec un premier EP, « How The World Turns » sorti chez la maison mère l’année dernière, mais aussi avec une poignée de sets live de belle facture ainsi que des performances remarquées comme backing band de Stranger Cole ou bien encore d’Alpheus, le groupe nous offrait de belles promesses…

Ce premier album était donc fort attendu… Voyons donc ce que le nommé « Look Around You » au visuel superbe a donc dans le ventre.

LE DISQUE : Il ne déçoit jamais, ce bon Nico Leonard, c’est une chose actée. Qu’il soit au four, au moulin, ou bien aux deux, voir son nom associé à un projet est chaque fois un gage de qualité. (suite…)

THE BANDULUS-TELL IT LIKE IT IS-BADASONIC RECORDS

UN PEU D’HISTOIRE : The Bandulus, c’est le groupe US mené de mains de maître par Jeremy Peña, le gars à la voix d’or,  depuis plus de 15 ans.

L’ex guitariste des Trenchtown Texans de Ryan Scroggins s’était assuré l’aide de Vic Ruggiero à la prod  pour leur premier album nommé « Ska, Reggae, Soul », assez convainquant… C’est avec la sortie de « The Time We Had » en 2012 que The Bandulus confirmeront tout le bien que l’on pouvait entrevoir, avec l’arrivée de deux chœurs féminins qui réhaussent à merveille le talent évident de songwriter de Jeremy.

La bande enfonce définitivement le clou en 2019 avec « Love A Woman », toujours dans cette veine 60’s, basculant allègrement de la soul au reggae, sur lequel toutes les qualités des deux premiers opus s’affirment, des rythmiques pointues aux arrangements vocaux dignes autant de Studio one que de la Motown.

Le groupe tisse pendant ces années des liens un peu partout sur la scène internationale, et ses passages en Europe lui offrent de belles opportunités, comme celle de sortir deux singles UK chez Happy People, ou bien pour Jeremy d’assurer le chant d’un single de Pama International sur « Not Waving But Drowning ». (suite…)