Rude Boy Train

Rude Boy Train’s Classics – GENERAL RUDIE – Take Your Place (Stomp Records/2004)

« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois…

 UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE : GENERAL RUDIE, c’est toute une partie de la scène de Montréal, et c’est en 1997 que ça commence. Le groupe emmené par Phil Dixon ou chant et au sax envoie un ska pêchu parfait pour les compiles « All Skanadian Club », et écume tous les bars du coin historie de faire danser la belle province. En 2000, il ouvre pour les Skatalites, publie son premier ep, « The Green Light Sessions », et passe par Toronto notamment au festival de Jazz et au festival Ska Ska Oi! organisé par l’Anti Racist Action. (suite…)

Danny Rebel & The KGB – Lovehaus – Stomp Records

UN PEU D’HISTOIRE : Ca fait pile poil dix ans que DANNY REBEL et ses potes du KGB se sont formés à Montréal. Le quintet fait dans le son jamaïcain, tout le son jamaïcain, avec du reggae, du rocksteady, du ska et plus si affinités. Après des morceaux sur les compiles « All-Skanadian Club », le combo avait sorti son premier LP, « Blastoff », en 2012 chez les voisins de Stomp Records.

Pas tellement de nouvelles depuis, si ce n’est la publication l’année dernière des « Boombox Sessions » en cassette, avec dessus 10 morceaux enregistrés live en studio et en acoustique.

C’est avec une certaine curiosité qu’on a appris que le groupe venait de publier un second album sur Stomp Records, « Lovehaus », disponible pour le moment uniquement en téléchargement. Le disque a été entièrement mis en boîte dans le studio/appart de la bande (le Lovehaus donc) à l’été 2016 puis à l’hiver 2017. C’est ce qu’on appelle du Do It Yourself. (suite…)

RUDE BOY TRAIN’S CLASSICS – Lo & The Magnetics – A Part (Grover Records/2004)

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« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois… 

UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE : Quand les Kingpins ont sorti leur troisième album, « Plan Of Action », en 2000, le line-up avait été pas mal remanié. Et quand ils sont venus en Europe deux ans plus tard, c’est dans une formation réduite (mais efficace) et encore plus remaniée qu’on avait pu les admirer, avec Lorraine seule au chant (sans Paddy).

Le groupe n’avait plus grand chose à voir avec les Kingpins des origines, à tel point que peu de temps après les caïds canadiens décidèrent d’en rester là. Sauf que Lorraine avait toujours des envie de ska et décida de continuer. Avec qui ? Avec les membres de la dernière formation des Kingpins, en quintet, et sous un nouveau nom : LO & THE MAGNETICS. (suite…)

Los Kung Fu Monkeys toujours dans la place

Rudeboy Rockers cover artAmateurs de son, furibard réjouissez-vous, les KUNG FU MONKEYS ont sorti un nouvel album qui déboîte (pléonasme). Los Kung Fu Monkeys, c’est un groupe basé à la fois à Tijuana au Mexique, et à Montréal au Canada.  Ça tourne depuis 1997, ça fait dans le ska-punk qui cogne, et ça aime tout particulièrement les Voodoo Glow Skulls (avec qui ils ont sorti un split en 2012).

Trois albums, une compile,  plusieurs Ep et des tas de tournées plus tard (ils sont même venus en France, le sextet décide qu’août 2015 est le bon moment pour sortir son nouvel opus. (suite…)

THE BEATDOWN – The Beatdown Meets Hugo Mudie – Stomp Records

The Beatdown Meets Hugo Mudie cover art

UN PEU D’HISTOIRE : C’est donc qui côté de Montréal, Québec, que démarre l’aventure THE BEATDOWN début 2009. Alex et Pascal, membres des excellents One Night Band, montent un nouveau quatuor musicalement quasi jumeau.

Un premier album sort sur Stomp Records en 2010, suivi par « Walkin Proud' », second opus en 2012. Début 2014, c’est un Ep quatre titres, « Let’s Go », qui est édité, cette fois chez les Espagnols de Liquidator Music.

En 2015, le groupe décide de reprendre le chemin des studios, mais pour changer un peu de son, il invite HUGO MUDIE (ancien chanteur de The Sainte Catherines et de Yesterday’s Ring), à venir tenir la gratte et pousser la chansonnette avec sa voix un peu rauque, un peu rock. (suite…)

The Beatdown de retour dans les bacs

Ca commençait à faire un petit moment qu’on n’avait pas entendu causer de THE BEATDOWN, incontournable groupe de « northern reggae » québécois. Et pourtant The Beatdown ici, on aime !

C’est donc avec le sourire aux lèvres qu’on vous fait part de la nouvelle : le quatuor de Montreal se prépare à sortir son troisième album, toujours du côté de Stomp Records, la belle maison de qualité qui dernièrement envoyait surtout du son punk. (suite…)

Lolo rencontre King Kong

My Favourite Heart To Break cover artLOLO, c’est LORRAINE MULLER, qui avec un nom et un prénom pareils doit forcément avoir des racines près de chez moi (les Muller en Lorraine, c’est un peu comme les Johnson aux USA). Et Lorraine Muller, c’est surtout l’un des personnages-clé de la scène ska canadienne, avec The Kingpins (trois super albums), Lo & The Magnetics (un  super album), et The Fabulous Lolos (pas du tout d’album), un combo en forme de allstars band de la scène de Montréal (et elle est aussi dans Les Handclaps, un groupe à tendance électro-pop-new wave).

KING KONG, c’est MITCH GIRIO, un musicien producteur incontournable de Toronto qu’on a vu tribaler sa barbe au sein de King Apparatus (les pionniers), de Prince Perry & The Gladstones, ou comme producteur des Kingpins et de pas mal d’autres…

Ces deux là se connaissent depuis longtemps, alors quand il décide de bosser à nouveau ensemble, c’est forcément pou faire du bon, du très bon. (suite…)

Rude Boy Train’s Classics – The One Night Band – Hit & Run – (Stomp Records/2008)

« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois… 

UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE: En 2003, une bande de potes de Montréal décide de donner un concert d’un soir. Ils sont amateurs de ska, de rocksteady, de reggae et de rock’n’roll et se prennent au jeu. THE ONE NIGHT BAND est né.

Alex Giguère s’occupe de la guitare et du chant, Dave Carignan de la basse, Larry Love du clavier, Eric Morin de la batterie, Jacinthe Michaud du sax alto, Christiane Charbonneau du sax ténor et Patrick Taylor du trombone.

Le joyeux septet se produit au Québec, en Ontario et aux USA avec des pointures ska et punk : Toasters, Mad Caddies, Planet Smashers, The Briggs… et enregistre deux démos, « Session A » en 2004 et « Session B » en 2005, histoire de démarcher à droite à gauche. Évidemment, le groupe est installé à Montréal et l’incontournable label local Stomp Records (Subb, Planet Smashers, General Rudie…) leur met le grappin dessus. (suite…)

The Beatdown en France

Ils aiment la scène et ils aiment la France nos Québécois préférés. Et on ne va pas se plaindre. On est certes dans l’attente fébrile d’un nouvel album de THE BEATDOWN (leur dernière livraison était « Let’s Go », l’Ep sorti chez Liquidator), mais pour patienter, y a rien de tel qu’un bon groupe live en public devant tout le monde comme disait le grand Schultz, paix à son âme.

Bon alors y a pas pléthore non plus, mais deux dates, c’est déjà pas mal. (suite…)

RUDE BOY TRAIN’S CLASSICS – THE KINGPINS – LET’S GO TO WORK (STOMP RECORDS/NoCo – 1999)

« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois…

UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE : THE KINGPINS est,  avec The Planet Smashers, un des groupes essentiels de la scene ska Québecquoise. Fondés en 1994 autour de Lorraine Muller au Sax, l’incontestable leader de la troupe, ils remportent dès leur première sortie « On The Run », un cd deux titres, le prix du meilleur single du  Montreal Independent Music Industry en  1995. Le premier album « Watch Your Back » » de 1997 restera plutôt confidentiel, même si sur scène, leur succès est grandissant. (suite…)

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