V.A. Birth Of The Fourth Wave Of Ska – Angel City Records
UN PEU D’HISTOIRE : Angel City Records, c’est le label qui monte sur la côte ouest des US.
Après avoir produit plusieurs soirées a succès avec des shows des Gaylads ou encore du légendaire Derrick Harriot, le DJ Mark Morales et le guitariste Wally Caro, décident en 2013 de monter leur propre label. Basé à Los Angeles, Angel City Records sort le single soul de sa première signature, Xiantoni Ari, « What’s It Gonna Be » à l’été 2013. Les accointances locales avec Brian Dixon et son Volcano Lounge leurs feront aussi sortir les singles de Stahl, le projet de l’ex Aggrolites Scott Abels, mais aussi les titres du studio’s band Thee Huricanes. On croise aussi sur ce label les excellents Delirians, le soul man Xavier Lynch, la formidable Jackie Mendez ou bien plus récemment la signature surprise des Espagnols de The Hypocondriacs avec la sortie d’un somptueux EP « Reggae 69 ». Il continuent d’offrir des soirées « Angel City » pour le plus grand bonheur des fans, surtout quand en plus, ils franchissent l’Atlantique avec l’« Angel City Review ». (suite…)
Une nouvelle compilation pour Angel City Records
ANGEL CITY RECORDS, LE de label Los Angeles, produit quelques artistes magnifiques depuis maintenant quatre ans: Jackie Mendez, Thee Hurricanes, Xiantoni Lynch… Toujours dans un style évoluant entre rocksteady, soul et ska, avec la fine fleur de la scène de la Cité des Anges.
En 2013, le label avait déjà sorti une compilation huit titres histoire de se faire connaître, et a continué à publier des Ep, et même à l’occasion un album (The Delirians).
Côté communication par contre, c’est pas toujours ça. Du coup c’est Grover Records qui nous annonce la sortie prochaine d’une nouvelle compilation avec 14 morceaux des meilleurs artistes maison. Ça s’appelle « A Universe Of Sounds », ça sort le 1er avril, et ça sera déjà déjà disponible en vinyle le 24 mars sur le moskitoshop. Même qu’il y aura un tirage en bleu qui sera limité à 200 pièces ! Grouillez vous. (suite…)
Stahl toujours au travail
Voici donc venue la sixième production Angel City Records. Et qui c’est, j’vous le donne en mille ? STAHL, aka Scott Abels, extraordinaire ex-batteur de The Aggrolites, qu’on a vu aussi du côté de Hepcat ou de Jimmy Cliff, et aujourd’hui avec Thee Hurricanes. A Los Angeles, quand on cherche un batteur pour frapper du rocksteady ou du reggae, aucun doute, on va sonner chez lui.
Après un bon petit 45 tours des familles sorti il y a quelques mois, puis un autre avec Keith and Tex, le voici donc de retour, et une fois de plus avec un invité de prestige : Karl « Cannonball Bryan », saxophoniste de son état, qui a croisé la route de The Skatalites, d’Eric Monty Morris, d’Alton Ellis ou de Phillys Dillon. (suite…)
Keith & Tex en 45 tours
A Los Angeles, on a des groupes, mais aussi de grands labels. Et à Los Angeles, on a ANGEL CITY RECORDS, toute jeune maison de disque qui aime le ska, le rocksteady et la soul. Et pas qu’un peu.
On vous avait parlé de STAHL, le projet solo de Scoot Abels, ancien batteur de The Aggrolites qui officie aussi dans Thee Hurricanes (l’autre groupe Angel City Records) et qu’on a pu voir sur scène derrière Jimmy Cliff lui-même. Et ben vous savez quoi ? Non ? Ben y a Stahl qui n’a rien trouvé de mieux pour vous faire dépenser l’argent du ménage que de sortir un disque sur lequel il accompagne presque tout seul les légendaires KEITH & TEX, ces vieux papys jamaïcains que certains d’entre-vous ont pu choper à Hambourg ou à Toulouse. (suite…)
Stahl : un nouvel extrait
Si vous ne savez pas qui est STAHL c’est normal : La dernière fois on vous avait dit qu’il s’appelait Scott Abels ! Bon il s’appelle toujours Scott Abels, c’est toujours le batteur de Thee Hurricanes (et l’ancien batteur de The Aggrolites), mais pour son projet solo, il a donc choisi le drôle de nom de Stahl. C’est bizarre mais c’est comme ça, mais surtout, ça sonne, et c’est ça le principal ! On vous avait dit aussi que le gaillard allait sortir un 45 tours sur Angel City Records incessamment sous peu, et ça aussi c’est toujours vrai. Mais là où on s’était trompé, c’est en disant que le gars était accompagné par d’autres musiciens pour ce disque. Hé non. En plus d’être un batteur hors pair, le gars a enregistré la gratte, la basse et le clavier ! C’est ce qui s’appelle du do it yourself ! (suite…)