RUDE BOY TRAIN’S CLASSICS – DR WOGGLE & THE RADIO – BIGGER IS TOUGH (Grover Records/2003)
« Rude Boy Train’s Classics« , c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois ».
UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE: Faut croire que ça faisait classe de se la jouer docteur en Allemagne dans les 90’s !
En tous cas, c’est sous le drôle de sobriquet de DR WOGGLE & THE RADIO que se pointent les sept zicos de Weinheim, pas loin de la frontière Alsacienne, juste avant le grand boom de l’année 2000. Leur style, plutôt orienté vers les 60’s est pourtant fortement marqué de l’empreinte du ska revival « à l’allemande » de leurs illustres aînés comme The Busters. Mais le talent est bien présent et le mix prend si bien qu’ils sont lancé par Elmo Records, le side label de Grover pour un premier album en 2001, « Suitable », en parfait équilibre entre les deux inspirations sus-nommées…L’album reçoit un bon accueil qui leur permet de tourner un peu partout en Europe, avec quelques dates mémorables en France. (suite…)
RUDE BOY TRAIN’S CLASSICS – SQUARE ROOTS – Square Roots (1995/Beach Recordings)
« Rude Boy Train’s Classics« , c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois ».
UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE: C’est en 1983 que démarre l’aventure SQUARE ROOTS, en Californie, à l’époque où les groupes de ska US se comptent sur les doigts d’un main (ou presque). Et on en sait finalement assez peu sur cette fine équipe de Santa Cruz qu’on a découverte en France il y a très longtemps grâce aux indispensables cassettes de Manu « Let’s Skank » Jaussely et à « We Don’t Skare », la compilation 100 % pur ska éditée en 1994 par le Silence De La Rue. Et attention, les Square Roots de Californie ne doivent pas être confondus avec les Français plutôt branchés reggae. (suite…)
RUDE BOY TRAIN’S CLASSIC – FIREBUG – On The Move (2006 – Grover Records)
« Rude Boy Train’s Classics« , c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois ».
UN PEU(BEAUCOUP) D’HISTOIRE : Quand Firebug déboule du Brésil début 2007 par chez nous avec sous le bras son deuxième album «On The Move », on se demande bien où Grover Records a bien pu pêcher un tel groupe.
Mais en creusant un peu, on découvrit qu’il avait derrière tout ça l’incontournable Victor Rice, qui, en s’installant à Sao Paolo s’était trouvé avec le chanteur et guitariste Felipe Machado, un fameux comparse musical, lançant donc ce groupe, Firebug, avec un premier album éponyme sorti en 2003. Le skeud est très bon et donne d’emblée dans le son « Mr. Rice », avec ses lignes de basses limpides et claviers vaporeux. La voix chaude de Machado est sans chichi mais diablement efficace. (suite…)
RUDE BOY TRAIN’S CLASSIC – ORANGE STREET – Step In…(2000/Small Axe)
« Rude Boy Train’s Classics« , c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois ».
UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE : Comme Western Special, Rude Boy System ou les Viking’s Remedy, Orange Street fait partie de ces groupes qui, au beau milieu des années 2000 où le ska avait pignon sur rue en France grâce au large succès de groupes à l’orientation festive, défendaient fièrement la bannière d’une version beaucoup plus traditionnelle de nos musiques Jamaïcaine. (suite…)
RUDE BOY TRAIN’S CLASSICS – THE VENTILATORS – Golden Love – (Here We Go/1994)
« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois ».
UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE : C’est en 1991 du côté de Bienne en Suisse, ville bilingue et horlogère, que débute la carrière de THE VENTILATORS autour d’Ueli Otti à la guitare et au chant, Jean Marmier au sax, Handjörg Dürig au trombone, Olivio Travaglini à la basse, Karin Diblitz à la batterie et Jean-Daniel Stämpfli au clavier. (suite…)
RUDE BOY TRAIN’S CLASSICS – CHRIS MURRAY – Slackness (Ska In The World Records-2005)
« Rude Boy Train’s Classics« , c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois ».
UN PEU(BEAUCOUP) D’HISTOIRE: Il est des noms incontournables qui vous viennent en tête lorsque l’on évoque la scène ska internationale et Chris Murray est l’un de ceux-là. Incontournable parce dès la fin des années 80, il a été un des fers de lance, avec son groupe King Apparatus, du revival ska outre-atlantique, et que depuis, il distille avec un talent hors pair ses chansons simples aux harmonies limpides comme de l’eau de roche. (suite…)
RUDE BOY TRAIN’S CLASSICS – CLANCY ECCLES – Freedom (Clandisc/Trojan Records-1969)
« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois…
UN PEU(BEAUCOUP) D’HISTOIRE : Eglise de la paroisse avec papa et maman, participation à la chorale, chanteur pour touristes puis zicos ou choriste d’un groupe à succès local, puis déménagement à Kingston pour finir repéré par Coxsone Dodd et explosion : voilà le parcours stéréoptypé et quasi imparable de la plupart des top-singers de Jamaïque des années 60, auxquels Clancy Eccles n’échappa pas. Né à Dean Pen en 1940, il rentre rapidement comme chanteur dans le circuit des hôtels de la côte Nord-Ouest. Il quitte ses parents pour Ochos Rios et intègre les shows des Blues Busters. Il part alors pour Kingston ou il est rapidement repéré par Coxsone, qui lui fait enregistrer « Freedom », un des tout premiers ska qui deviendra un de ses hymnes, dès 1959, ainsi que « River Jordan ». Les deux titres tourneront en exclu dans les sounds du patron pendant près de deux ans avant de n’être enfin pressés qu’en 1961. (suite…)
RUDE BOY TRAIN’S CLASSICS – THE TOASTERS – HARD BAND FOR DEAD (Moon Ska NYC/1996)
« Rude Boy Train’s Classics« , c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois ».
UN PEU (BEAUCOUP) D’HISTOIRE (rappel): THE TOASTERS, c’est tout simplement l’une des plus belles références de l’histoire du ska.
Créé à New York en 1981 sous le nom de Not Bob Marley, The Toasters est indissociable de son frontman/guitariste/chanteur Rob « Bucket » Hingley, un Anglais de New York comme dirait l’autre, qui parle un peu français aussi puisqu’il a vécu à Strasbourg (son père faisait partie de l’armée anglaise). (suite…)
Rude Boy Train’s Classics – WESTBOUND TRAIN – Transitions (Hellcat Records-2006)
« Rude Boy Train’s Classics », c’est une série de chroniques d’albums qui ont marqué l’histoire du ska, du rocksteady ou du skinhead reggae. Standards objectifs reconnus par le monde entier ou chefs d’oeuvre personnels qui hantent nos jardins secrets, la rédac de Rude Boy Train vous fait découvrir ou redécouvrir ces albums majeurs qui méritent d’avoir une place de choix sur vos étagères ! Rendez-vous le premier vendredi de chaque mois…
UN PEU(BEAUCOUP) D’HISTOIRE : 2001, Boston, Massachusets… Inspirés par le succès grandissant des formations ska-trad US comme Hepcat ou les Slackers qui prennent petit à petit le pas sur les groupes third wave, Obi Fernandez, tromboniste et chanteur de son état, grand fan de soul, monte avec une crème de zicos, comme le bassiste Thaddeus Merritt ou le trompettiste New Yorkais Rich Graiko, Westbound Train, reference au célèbre titre de Dennis Brown.
Dès 2002, ils autoproduisent « Searching For A Melody », enregistré au studio Version City de King Django. Et d’emblée, ça en jette : si le son est un peu sec (Version City Style !), leurs compos ciselées, tour à tour ska, rocksteady ou early reggae, interprétées avec une finesse rare et associées à l’influence soul de la voix somptueuse d’Obi Fernandez, nous offrent un premier opus plein de classe qui sera réédité en 2003 sur Megalith Records. (suite…)